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Dimanche 17 mai 7 17 /05 /Mai 21:17
Edit du jeudi 4 juin:
Suite a de nombreux commentaire (même un aurais suffit hein) quand j'aurais un petit moment de libre je repprendrais mon chapitre et je vais le relire a Fond. Je m'excuse de tout coeur pour ce chapitre incompréhensible et de toutes ses fautes. Merci a vous de me lire encore malgrès ses défauts. Encore promis je vais le relire dès que possible!!!!!



Coucou les filles, car je suppose que c'est que des filles qui me suivent. Je vous est concocter un petit chapitre ses deux derniers jours. Jespère qu'il va vous plaire hein. Merci encore de me lire et de votre patience car c'est vraiment pas régulier comme j'écrit. Bon lundi a toute. Bisous * sourire sadique*.
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Hugo prenait tellement soins de moi, et j’avais le sentiment que je profiter de lui, un horrible sentiment de remord. Il n’avait déshabiller, puis il m’avais glisser dans un bain qu’il avait au préalable préparer. J’était nu, offert a son regard amoureux, seul la mousse constituer une barrière pour que ses yeux pervers viennent profiter de mon maigre corps. Il avait prit une fleur de bain et frotter la moindre parti de mon corps sans le moindre sous entendus. J’avais tellement envie de lui dire dans la situation difficile que j’était, mais je devrais aussi lui dire que j’aime mon frère et que je suis bien avec lui mais que je ne suis pas encore sur de mes sentiments pour lui. Je n’avais pas envi de le perdre, c’est pour sa que je me taiser. Mais je n’arrive pas nier que j’ai ressentit de la jalousie quand j’ai entendu son frère l’appeler aussi affectueusement. Il m’a enveloppé dans une serviette si douce comme lui, avec un agréable parfum de rose. Il m’a prit dans ses bras et ma murmuré des paroles réconfortante. J’avais tellement envie de pleurer, mais Hugo était la et il m’aiderait a remonter la pente. Il m’avais guidé a sa chambre, même si je connaissais son chemin par cœur, et m’avais donné un boxer trop grand pour moi, puis m’a donné une de ses chemises blanche qui me faisait robe de chambre, et m’avais prit la main pour que je l’accompagne sur son beau canapé. Il s’était mis assis de façon a ce que je mette ma tête contre son torse, puis m’avait recouvert d’une couverture. Il avait glisser ses mains sous la couverture et en avait glisser une dans un pant de chemise qu’il avait déboutonné, et l’autre il avait prit une de mes mains dans la sienne et l’avais posé contre mon cœur. De temps en temps il déposer un doux baiser dans mes cheveux encore tout mouiller. Sa respiration tellement calme, sa douceur, un calme catholique, tout ceci fait que je m’endormit dans un sommeil loin d’être réparateur.



Je me réveillé seul dans cette pièce, un mal de tête atroce et des traces de larmes précédemment coulés. Je le dirigeais dans la chambre d’Hugo, il n’y était pas, dans la cuisine non plus, il se dirigea alors vers  la salle de bain et l’eau coulé. J’ouvrit alors la porte et ouvrit le rideaux de douche. Hugo sursauta et éteignit l’eau, il me regarda triste, puis sortit de la douche et s’enroula dans une serviette. Il me prit dans ses bras et déposa un baiser innocent sur mes lèvres.



-
         
« - Promet moi un jour de m’expliquer ce qui te rend si triste, mon cœur je ne te questionnerais pas mais promet d’un jour répondre a mes attentes

-          Je te promet que quand je serais prêt je t’expliquerais.

-          Je t’aime »


J’allais répondre quand il reposa a nouveaux ses lèvres sur les miennes et me murmura  «  Ne répond pas je sais qu’il est encore trop tôt ». J’avais trouvé l’homme parfait, si seulement on pouvait choisir la personne a qui on offre ses sentiments, je l’ai auraient donné a Hugo. Enzo ma tellement fait souffrir, il m’a prit pour un con, il m’a tromper, … Hugo m’embrassa cette fois plus profondément, sa langue retrouver a nouveaux la mienne, a chaque fois des petits picotements se faisait ressentir dans mon bas ventre. Il aimait se faire désirer car je voulais l’embrasser encore plus intensément, mais s’amuser a se retirer a chaque fois. A chaque fois que je m’avancer vers lui il reculer, voulait a tout prit sa bouche mais il aimait tellement me faire désiré, et dire que a chaque fois sa marcher. A bout de force je me retourné pour repartir sur le canapé quand je sentit une main m’attraper brusquement le bras et me retourna avant de me collé sauvagement au mur et de prendre ma bouche dans toute sa profondeur. Il me souleva et j’enroulais mes jambes autour de sa taille, avec une de ses mains il me soutenait et l’autre me caressait une jambe dénudé.


-
         
« - Tien un jour faudrait qu’on essaye dans cette position ! Dit Gwen la bonne humeur étant revenu grâce a Hugo.

-          Ta fini a tout le temps a penser a faire l’amour, même si pour une fois je suis d’accord avec toi.

-          Pour une fois ? dit que je te force a me faire l’amour !

-          Oui, t’est tellement désirable que je suis forcer de dire oui tu as un corps parfait mon ange. »

Gwen avait rougit sur ce compliment, il rougissait tellement vite dès qu’on lui disait quelque chose. Il dit vite a Hugo que si il était exciter c’était de sa faute car il se trémousser tout nu. Hugo lui avait répondu au tac au tac un «  repousse moi si c’est de ma faute », bien sur ce que Gwen ne fit pas. Le plus âgé partit de lui-même a cause de quelques frissons. Gwen se remit devant la télé et mit une chaine musique pendant que son ainé était partit se vêtir. Hugo s’était mis un Jean et une chemise ouverte au col comme a son habitude. Il s’était ensuite dirigé vers la cuisine pour mettre le manger en route,  il sortit  un poulet du congélateur, puis le mis a le cuire et mit des haricots verts a cuire aussi. Une fois tout ceci lancé, il alla ce posé sur le canapé a côté de Gwen. Le plus jeune qui trouvé que son compagnon s’était installé trop loin de lui le regarda et se rapprocha discrètement, enfin c’est ce qu’il pensé car Hugo lui l’avait parfaitement vu faire, mais n’avait rien dit. Une fois que Gwen était arrivé a ses fins il fixé le profil de celui-ci. Le cadet trouvait Hugo magnifique, il avait un visage un peu ovale, et même s’il ne souriait pas, sa bouche rayonnait tout le temps de joie.



-
         
« - Tu regarde quoi, j’ai un bouton, dit Hugo en souriant.

      -          Tu es tellement beau Hugo, avait répondu Gwen sans réfléchir »


A peine ses mots prononcer le plus jeune se rendit compte de ce qu’il venait de dire et détourna la tête en fixant le sol. Hugo avait poser sa fine main sur le menton de Gwen et le força a le regarder. Il le fixer les yeux brillants, apparemment ému. Il avait attiré son visage au sien pour déposer un baiser sur ses fines lèvres. Il avait murmuré contre les lèvres de son amant un simple « merci mon ange ». Le reste de la soirée se passa calmement, comme un vrai couple. Il mangèrent a tête à tête. Pendant que Hugo faisait la vaisselle, Gwen contemplé la vue de la baie vitrée. Il aurait bien aidé Hugo mais il l’avait poliment envoyer balader. Il ne pouvait s’empêcher de trouver la vue magnifique, malgré que ce n’était pas la première fois qu’il la voyait. Mais seulement il ne pouvait pas s’empêcher de penser que bientôt il devrait affronter son frère, il ne pourrait pas vivre indéfiniment ici, même s’il aimerait. Il ne se sentait pas capable de revoir son frère surtout en l’ayant entendu jouir dans les bras d’un autre homme. Lui qui avait tellement peur que Gwen le pénètre, il s’est bien foutu de ma guelle en se faisant  prendre par un homme qu’il ne connaissait même pas. Il sursauta quand un souffle chaud et un baiser frôlèrent son cou, en lui provoquant des frissons dans tout le corps. Hugo avait déjà finit la vaisselle, depuis combien de temps était-il là ?Gwen se retourna et plaqua Hugo contre sa baie vitrée et l’embrassa avec tout l’amour qu’il avait a lui offrir. C’était rare les fois Hugo était dominé de la part de Gwen et il aimé sa. Le plus âgé avait remit sa tête dans le cou de son compagnon et celui-ci avait encore frissonné et cette fois ci avait lâché un petit gémissement. Hugo remonta la tête en souriant et déposa un baiser sur les lèvre de Gwen en lui murmurant que il était content d’avoir trouver un de ses points sensible. Le cadet râla et repoussa Hugo en se dirigeant vers la chambre a couché. Le propriétaire des lieu se dirigea a son tour vers la chambre après avoir fermer la porte a clef et trouva la chemise qu’il avait prêter a Gwen par terre et celui-ci couché dans son lit. Il se mit a son tour en boxer et rentra dans le lit. Une fois installé en dessous de la couette son compagnon se glissa dans ses bras inconsciemment, et replongea dans un sommeil profond. Le couple s’endormit ainsi enlacé, l’un dans les bras de l’autre.

Le lendemain était un journée basique, entre câlin, baiser, « dispute », mais toute bonne choses on une fin, et Gwen annonça a Hugo qu’il voulait retourné un peu chez lui sa « famille » devait l’attendre. Bien sur au début l’ainé avait essayé de retenir Gwen, mais a finit par abandonné. Hugo lui précisa que n’importe l’heure du jour ou de la nuit il pouvait soit l’appeler ou venir sonner chez lui, il serait toujours la bienvenue ici. Après une multitude de baiser aussi passionné les uns que les autres Gwen réussi enfin a partir des pates d’Hugo. Il redouté plus que tout le retour chez lui, mais fuir a chaque difficulté n’était pas une solution. Bien trop rapidement, il se retrouvé devant la porte d’entrée et fus  accueillit par la main de son frère sur sa joue.


          " - Petit merdeux qu’est-ce qui ta prit de partir plusieurs jour comme sa sans me donné de nouvelle ?


-
         
Déjà tu ne me parle pas sur ce ton, et si hier tu n’était pas occupé a baiser avec je ne sais qui tu saurais que je suis passé a la maison.


A ces mots Enzo pâlit mais ne se laissa pas démonter par son petit frère aussi facilement.

 

-          Je fait encore ce que je veux de mon cul, et tu était ou ses derniers jours ?

-          C’est sur l’homosexuel refoulé tu fait ce que tu veux de ton cul, mais sache que tu n’est pas mon père j’ai pas a te rendre des comptes sur ce que je fait.

-          Je suis majeur et responsable de toi, je ne te laisserais pas temps que tu ne me dira pas ou tu était. Enzo ne répondit volontairement à « l’homosexuel refoulé » car il pense exactement la même chose, mais sa fait toujours mal d’entendre sa d’une personne à qui on tien…

-          Tu pourras me harcelé temps que tu veux tu n’obtiendra pas un mot de ma part, bon maintenant pousse toi je voudrais encore rentrée dans cette maison qui est la mienne aussi.

-          Temps que tu ne me parle pas sur un autre ton, je ne me pousserais pas.

-          Mon frère chéri pourrais tu te poussé de l’entrée de la porte s’il te plait.

-          Petit salopard."

Gwen passa fier de lui mais bléser et terriblement mal car il avait blesser son frère. Il avait peur de la suite des choses, comment la soirée aller telle se passer. Il alla prendre un gâteau a manger dans la cuisine puis partit directement dans sa chambre sans un mot pour son frère. Il s’alluma sa musique, il se sentait vivre avec elle, il se coucha sur son lit et soupira de bien être, la musique le bercé t’elle un enfant dans son berceau. Il pourrait même s’endormir mais seulement une voix inconnu parvint a ses oreille et troubla sa sérénité. Il ouvrit doucement la chambre de sa porte, et écouta quelque bribe de conversation : « S’il te plait hier c’était tellement intense », mon frère répondit : «  Nan j’ai peur des relations comme sa, et s’il te plait parle doucement, j’ai pas envie que Gwen le sache ».  Une rage bouillonné en moi, maintenant celui qui me disait tout, il me cache des choses, notre complicité n’est vraiment plus du tout la même.  J’était en train de perdre mon frère, même si sa me faisait tellement peur, je ne voulais pas essayer de la ressouder, pourquoi fallait il pas qu’on soit des frères comme les autres et que cette relation évolue en amour. Tout à l’heure j’avais horriblement envie de l’embrasser à la place de l’envoyer baladé, il était très sexy en colère. La bouche humide tellement désirable, elle n’attendrait que la mienne pour compléter ce schéma parfait.

Ma curiosité prit le dessus et j’ouvrit un peu plus la porte pour voir la personne a qui Enzo parlait. Seulement ils ont du entendre ma porte grincer et desuite après ils se sont tus. Le temps que je sorte du mini couloir qui s’éparer ma chambre au salon, l’homme a qui mon frère parlait eu le temps de se caché car arrivé dans le salon il y avait Enzo assis sur le canapé avec un air tellement naturel.


« - Où est l’homme avec qui tu parlais tout a l’heure ?

-          Maintenant en plus de me parler mal tu entends des voix, sa deviens de plus en plus grave.

-          Si tu arrêter de me prendre pour un con sa me ferait plaisir tu sais, parce que sa me fait mal que tu me cache des choses, surtout a celui a qui ta faillit faire l’amour dans le bain de la salle de bain.

-          Gwen veux tu te taire desuite.

-           Bah quoi, on est tout seul dans cette maison, et j’ai encore le droit d’expression a ce que je sache.

-          Tu deviens fou mon pauvre frère, je ne pratiquerais jamais  l’inceste, c’est puni par la loi et puis même c’est équerrant.

-          Sale Pd refoulé, tu te fait défoncer le cul et après tu vas jouer les homophobes, répondit Gwen les larmes aux yeux.


Enzo avait tellement mal, voir souffrir son frère et en plus sa en était lui la cause mais il s’était juré de ne plus cédé, c’était mal, ce genre de relation était punis par la lois, et déjà que l’homosexualité n’était pas encore rentré dans les mœurs de tout le monde, alors l’inceste, qu’en penseraient les gens. Puis il se faisait du mal, et a son frère par la même occasion. Le choix avait était très dur, mais Enzo c’était résilier a ne plus lui parler, sauf pour les relations qu’il avait qualifier de « normale ».

« Gwen si tu savais ce que il s’était réellement passé entre hier et aujourd’hui…  je suis désoler mon amour de te faire souffrir mais c’est pour notre bien, un jour tu me remerciera.»

 

Flash Back

Enzo venais juste de prendre la décision de ne plus avoir de relation ambigu avec son frère. Cela l’avais rendu tellement triste, il avait le cœur brisé de savoir qu’il ne reverrais pas le corps jeune et frêle de son frère. Il avait tellement aimé le faire vibré sous ses doigts, il prenait tellement de plaisir rien qu’en entendant ses gémissements. Le regard amoureux que Gwen lui avais lancer, il l’avait tellement aimé. Pour rien il n’aurait céder sa place a un autre homme. En repensant a tout ses moments de joies qu’il avait partagé avec Gwen, les larmes sortirent du profond de lui-même, une grosse boule au ventre, il fallait absolument que sa sorte, sa le détruisé de l’intérieur. Son corps sanglotait, Priant mentalement pour que Gwen ne revienne pas a ce moment même. Tout seul dans son lit froid, le visage ravagé par les larmes, son corps tremblotant, son esprit déconnecter, il n’était plus maitre de lui-même. Il n’entendit même pas que la porte de sa chambre s’ouvrir, un inconnu le prendre dans ses bras, le consoler, même si il s’avais qui s’était son esprit lui disait de ce laisser faire. Il se laissa guidé dans les mains de l’homme qui était avec lui. Enzo avait besoin d’affection maintenant, il avait besoin de se sentir aimé, il embrassa l’homme, puis tout ce passa si vite, il se retrouvèrent a faire l’amour dans la chambre de celui-ci. L’homme qui s’était introduit dans la chambre de Enzo lui murmura des mots d’amour, il lui faisait l’amour avec le plus grand plaisir, il l’attendait depuis si longtemps. Il l’avait tellement désirer. Il voulait l’entendre au moins une fois prendre du plaisir grâce a lui, il aimé tellement entendre sa voix grave qui hurlait son plaisir. A plusieurs reprises il le prit dans tout les sens et espérer de tout cœur que le lendemain ne soit pas signe de remord. Moi j’avais totalement perdu conscience de ce qui se passer, je sais juste que j’aimer ce que l’homme me faisait et il m’apporter ce dont j’avais besoin, les remords a plus tard.

Fin du Flash back


Gwen était toujours devant Enzo les larmes lui défigurant son visage angélique. Enzo avait envie de le prendre dans ses bras mais il ne devait pas. Son ami était là, il ne fallait pas qu’il sache. Le choix était dur. Sans qu’il ne pu ce poser lus de questions, Gwen  partit dans sa chambre. Il prit le premier sac qu’il avait trouver et avait mis quelques vêtements a lui, ainsi que le nécessaire de toilette pour les prochains jours. Il avait toujours Hugo sur qui il pouvait compter. Si il ne pouvait pas encore lui offrir de l’amour, il était a présent certain que il tenait  Hugo plus qu’il ne voulait ce l’avouer. L’amour lui faisait tellement peur maintenant. 

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Alors c'est cimme vous l'aviez imaginé? Je suis curieuse de savoir? Jespère que sa vous a plu hein! et puis je ne sais pas si vous avez remarquer aussi mais le suite était un peu plus longue :P
Bon je vous laisse je vais vous souler avec mon blabla. Bisous a toute

Par laptitemiss - Publié dans : Amour impossible
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