AVERTISSEMENT

Ce blog contient des fanfics à contenu adulte.
Il est question de relations homosexuels et érotiques.
Donc ne convient pas à un public mineur !
Je vous aurais prévenue ne venez pas vous pleindre !!!

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Mardi 10 juin 2 10 /06 /Juin 22:41
Désoler de l'attente mais je ne suis plus chez moi les week-ends en ce moment et la semaine je rentre a 19 heures pour 5 heures du matin debout.
Donc c'est dur dans ces conditions d'écrire, mais j'ai quand même réussit a vous pondre un chapitre =)
En espérant qu'il va vous plaire, je vous fait a tous un gros bisous et ungrand merci de vos commentaires.
_______________________________________________________________________________________________

 Le lendemain le jeune drogué ce leva en premier avec un mal de tête insupportable.

Il sentit des bras qui l’entouré affectueusement, il se sent compressé contre un corps...

Pendant quelques secondes, il avait espérer que ce soit Enzo mais bien vite la réalité vient  prendre le  dessus, ce n’était que Anaëlle.

Il essaya d’enlever doucement les deux bras qui l’entourés, sans réveiller sa jeune amie.

Mais celle-ci ce réveilla aussi tôt, qu’il soit en dehors du lit.

 

« -Vien de couché Gwen ! 

-Non je vais prendre un cachet pour mon mal de tête et j’ai faim moi

-Bon alors attend j’arrive

-Non non reste au lit toi »

 

Mais Anaëlle  était déjà en dehors du lit en train de mettre un pull à Gwen sur ses fines épaules.

Gwen partit en direction de l’armoire à pharmacie familial, Anaëlle le suivait.

Il se senté surveillé et il n’aimé pas sa mais cette fois ci il ne dit rien car après tout c’était de sa faute si elle était comme sa avec lui...

Il prit un doliprane, puis se dirigea vers la cuisiner, pieds nus, pour prendre un verre et le remplir d’eau.

Elle était toujours derrière lui...

Après avoir avalé son cachet il repartit en direction de la chambre de son frère, mais la douce voix de son amie l’arrêta dans son élan.

 

« -Gwen ? »

 

Voilà il en était sur elle allait lui poser un tas de questions, pourquoi, et surtout l’engueller.

 

« -Voui ?

-Pourquoi tu t’es drogué ?

 -Pour rien

-Me prend pas pour une conne, alors maintenant tu vas me donner tes raisons desuite !

-...

-Gwen je vais réellement me fâché la dit moi tout de suite.

-Enzo me manque, j’en peux plus t’est contente ! »

 

Puis il partit sur ses quelques mots dans la chambre de son frère, puis s’enferma à clef, sans oublier de claquer la porte.

Anaëlle quand à elle regretter d’avoir était aussi violente avec lui, il souffre et essaye de l’évacuer comme il peut et elle, elle l’enguelle, mais ce n’était pas une raison pour allé jusqu’à ce drogué.

La jeune fille toqua doucement à la porte en s’excusant d’avoir était aussi stupide, de lui avoir parlé méchamment     alors qu’il allait mal, et qu’il avait besoin de tout son soutient.

Mais elle précisa aussi que elle était en colère contre lui d’avoir prit ce genre de substance...

Gwen ouvra la porte, puis retourna sur le lit de son frère le même pull que la veille dans les bras, la tête enfouit dedans.

 

Elle s’approcha doucement de lui puis se mis assisse sur le lit à coté de lui en passant sa main tout le long de la colonne vertébrales.

Au bout d’un moment il se releva avec le pull dans les mains puis pour une fois c’est lui qui se jeta dans ses bras.

Elle lui caressa le cuir chevelu en lui murmurant des mots réconfortant a l’oreille, comme l’aurais fait une mère...

Elle se devait d’être la pour lui, avant Enzo pouvait le réconforté aussi, et il avait apparemment plus d’expérience vu que sa marché a chaque fois, mais maintenant il n’était plus la pour un temps indéterminé pour le faire.

Il finit par s’endormir dans les bras de sa meilleure amie qui continua malgré tout ses caresses.

Son sommeille était agité, il parlé, bouge de partout, crier parfois le nom de son frère, il est même jusqu’à presque taper Anaëlle car elle le tenait.

Il crier « Lâcher moi je veux le voir... »

A la fin Anaëlle le réveilla, en l’appelant par son prénom, à peine les yeux ouvert qu’une fois de plus il allât dans les bras de la fille et pleura en disant réellement ce qu’il éprouvé pour son frère.

« - Anaëlle il me manque, je l’aime trop, c’est pour sa que je me suis drogué, j’en peux plus, j’ai besoin de le toucher, lui parler, le voir rire, même pleuré et qu’il vienne dans mes bras...

J’ai besoin de se contact avec lui, j’ai déjà essayé de poser mes lèvres sur les siennes mais ce n’est pas la même chose quand il est dans ce lit...

C’est ma drogue, vu qu’il n’est plus la j’ai besoin d’autre chose, je ne vie que pour lui, pour le voir, même quand il me demande de le caresser j’aime sa, je sais que je lui fais du bien.

Anaëlle aide moi à ne plus ressentir ce manque de lui, je vais finir par en mourir, pourquoi il m’abandonne... 

-Non Gwen ne pense pas sa il ne t’abandonne pas, puis ne part pas sur des idées négative, il n’est pas mort, juste dans le coma, dit toi qu’un jour il reviendra près de toi, et ce jour tu le savoureras énormément.

Gwen je suis sur qu’il n’aimerait pas te voir comme sa, même si je suppose qu’il na pas la même vision que toi de l’amour qu’il te porte c’est quand même de l’amour, différent mais c’est de l’amour...

 

Anaëlle ne savais plus quoi dire, elle s’en douté un peu que Gwen aimé son frère autrement que par les liens fraternel mais de la a ce que sa se prouve elle é tait un peu sur le choque.

Elle l’écoutait, elle senté qu’il avait besoin de parler, sinon il risqué de faire beaucoup plus grave...

Elle serait toujours la quand il aura besoin d’elle, mais elle se senté un peu impuissante a la détresse de son amis.

 

Après une bonne heure ou elle a écouté Gwen elle l’amena vers la salle de bain, elle commença à défaire son pantalon de pyjama.

Elle régla l’eau de la douche, puis dit a Gwen, tout bouleversé, de s’approché d’elle.

La jeune fille s’approcha alors de Gwen puis baissa rapidement son boxer.

L’adolescent la regarda les yeux grand ouvert, en ne comprenant plus son amie, que va-t-elle faire ?

Pourquoi lui aussi il ne fait rien pour l’empêcher, il n’avait même plus la force de lui demander ce qu’elle voulait faire.

Pourtant le sourire d’Anaëlle le mettait en confiance.

Elle lui prit doucement la main, sans aucune résistance de sa part, puis l’amena dans un bain qu’elle lui avait fait couler.

Il se mit directement couché dedans, profitant de la chaleur de l’eau pour ce détendre, profité au maximum de ce moment.

Il sentit vaguement un gant ce promener sur ses épaules, son torse, ses jambes, ses pieds sans jamais s’approcher trop près de son intimité.

Il était presque heureux à ce moment, complètement détendu.

Il avait les yeux fermés pour encore mieux profité de ce moment.

« -Anaëlle Enzo me falta *»

Elle n’avait pas répondu, que répondre a sa ?

Elle continua de le lavé et de le détendre par la même occasion.

Une fois son lavage terminé, elle prit une longue serviette blanche, puis la tendit à Enzo qui était encore couché dans son bain.

Anaëlle l’appela, puis elle se retourna le temps qu’il se sèche et qu’il noue la serviette autour de sa taille.

Tout les deux ils partirent en direction de la chambre de Gwen cette fois ci.

Il s’habilla en silence, la jeune fille l’attend  couché sur son lit, dos à lui.

Une fois qu’il fut habiller il allât rejoindre son amie sur le lit, en s’approchant de son oreille pour murmuré deux mots simple mais qui disent beaucoup :

 

« -Merci beaucoup »

 

Annelle lui fit son plus beau sourire avant de déclarer en ce levant :

 

« -Bon maintenant on va manger je crève de faim moi

-Ta pas changé, rigola Gwen, toujours un estomac sur patte

-Non, mais toi aussi tu m’accompagne manger, go go go. »

 

Gwen voyant qu’il n’avait pas le choix, et connaissant la tête de mule qu’est son amie, se leva et la rejoins dans la cuisine.

Anaëlle avait déjà les bras pleins de choses, elle commencé à en mettre dans des verres, des bols...

Gwen se demandé vu tout ce qu’elle mange comment elle fait pour resté aussi mince.

Cinq minutes plus tard, Anaëlle ramener un plateau composé d’un verre de jus d’orange, un bol de café au lait, de la brioche tressé au chocolat, de la confiture, du pain et des biscottes, elle le posa devant Gwen puis en remmena un deuxième pour elle.

 Rien que de voir toute cette nourriture Gwen n’avait déjà plus faim, mais il était obligé de mangé sinon il allait réellement ce faire houspillé par Anaëlle.

Gwen prit son verre de jus d’orange lui en bu un peu, ensuite il bu une gorgé de son café au lait avec un petit bout de la brioche tressé au chocolat.

Il n’avalerait plus rien après avoir bu son verre de jus et son bol de café au lait.

Il regardait la jeune fille qui dévoré son plateau avec un appétit monstrueux.

Après avoir débarrassé son plateau il alla devant la télévision.

Un film était sur la chaine qu’il regardé et un homme était dans le coma

Le jeune homme se leva desuite puis partit desuite dans sa chambre sous le regard penné de  la jeune fille qui ne tarda pas à le rejoindre.

Quand elle entra dans la chambre elle le vit les yeux dans le vide en train de serré son cousin contre son cœur.

Une fois de plus elle essaya de le consoler comme elle le pouvait.

Elle ce dit que de le sortir lui ferait le plus grand bien, elle allait faire pour qu’il pense a autre chose, et non a son malheur.

Elle lui prit la main, comme a son habitude posa ses fine lèvres sur les joue humide de Gwen avant de le trainé en dehors de la maisonnette familiale.

 

Toute la mâtiné était concentré sur les magasins de vêtement, Anaëlle avait réussi a ce qu’il pense a autre chose et rigole de bon cœur avec elle.

Ensuite entre midi, ils sont allés a la pizzeria, Tout les deux ont prit leur pizza préféré celle aux 4 fromages.

Une fois leur pizza en main ils sont partis la mangé au bord d’un lac sur un banc.

 

Anaëlle avait prévue aussi un cinéma, un film a l’eau de rose.

Bien que Gwen ne détesté pas sa, il c’est endormit sur l’épaule d’Annelle qui s’en amusé.

 Vers la fin du film Gwen émergea de son rêve et vit Anaëlle les larmes aux yeux en disant : »C’est trop beau ».

C’était bien Annelle, elle avait les larmes facile pour les films de ce genre, c’est bien une fille pensa Gwen en souriant et prenant sa meilleur amie pour sortir.

La fin de journée passa étonnamment vite pour les deux jeunes.

Pour une fois les parents Guirao étaient présents.

Ils n’avaient pas l’air bouleversé par le fait que leur fils soit dans le coma.

Gwen était en rage contre eux, même pas s’il s’en soucier.

Pour eux c’est la vie est ils ne pourraient rien faire.

Depuis la fois que le médecin les a contactés ils ne sont plus allés le voir.

 

« -Maman tu viens voir avec moi Enzo ? 

-Mon chéris laisse un peu ton frère tranquille, s’il ne sort pas du coma c’est qu’il n’en a pas envie, ou qu’il n’en éprouve pas le besoin, il n’a pas les personne qui lui faut pour l’aidé à en sortir.

-Justement si t’allait le voir un peu peux être qu’il en sortira putain »

 

La phrase de sa mère lui a brisé le cœur, il n’en «éprouve pas le besoin »...

Mais Gwen a besoin de lui, pourquoi il ne répond pas à ses appels.

Pourquoi il ne revient pas rien que pour lui.

Il lui avait promit il serait toujours la pour son petit frère.

Gwen se sent abandonné, trahit.

 

Le plus jeune sauta par la fenêtre pour aller rendre visite à son grand frère.

Vu que ce n’était pas ses parents qui allait l’accompagné il irait par ses propre moyen.

Il y avait 10 kilomètres entre l’hôpital et chez lui.

Heureusement qu’Anaëlle était sous la douche a cette instant sinon il n’aurait pas pu y allé.

 

Une bonne heure plus tard il arriva a l’hôpital en remerciant un automobiliste qui a bien voulut le prendre en stoppe.

Il n’entra pas par la porte normale vu que a cette heure ci les visites étaient finit, mais par la porte du personnelle de service.

En faisant le moins de bruit possible il se rendit a la chambre de son frère.

La pièce était plongée dans le noir totale.

Le corps de l’aîné était recouvert d’un drap, on pouvait distinguer les formes de son corps sous la nuisette blanche de l’hôpital.

Gwen posa sa main sur le torse de son frère.

Il resté debout devant lui immobile.

Son corps avait maigris, son sourire avait disparut, il avait l’air malheureux.

Gwen posa tendrement ses lèvres sur ses jumelles avant de s’assoir sur le bord du lit et de poser sa tête sur le torse de son frère.

 

« -Je t’aime, je t’aime, je t’aime mon ange, réveille toi, j’ai trop besoin de toi, s’il te plait Enzo... »

 

Gwen enchainé les baisers, sur son cou, son visage angélique, ses lèvres, ses paupières closes, sa pomme d’Adam ...

Il continua sans jamais se lasser, en appréciant la peau douce qui passé sous ses lèvres.

Pendant une bonne heure le silence totale régné dans la pièce seule le bruit des baisers de Gwen animé cette chambre.

Sans une parole, sans un soupire, sans une larme de détresse...

 

 

 

 

 

 

 

*Anaëlle Enzo me falta = Anaëlle Enzo me manque

 

Par laptitemiss - Publié dans : Amour impossible
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Vendredi 16 mai 5 16 /05 /Mai 19:06

Voilà un nouveau chapitre qui arrive après mes vancances.
Plus de nouvelle de moi car j'était partie une semaine pour prendre un peu de recul.
Voilà jespère qu'il vous plaira.
N'ésitez pas a laisser vos avis.
Comme d'habitude je le met avant la correction finale qui viendra plus tard :)____________________________________________________________________________________

Gwen rentra chez lui, le morale au plus bas…

Il appela Anaëlle pour lui passer un petit bonjour et surtout lui parler une dernière fois dans un état normal, elle allait lui manquer.

D’ailleurs elle faisait partie des deux seules personnes pour qui il donnerait sa vie.

 

Dieu que Enzo lui manquait, s’engueuler avec lui, se battre en rigolant avec lui, le toucher intimement ou non, tout lui manquait.

Enzo était sa drogue, il ne pouvait plus s’en passer, il était à bout.

Cela fait des mois qu’il l’attend, il ne se sent plus capable de continuer, malgré tous les gens qui sont là pour lui il n’en peut plus.

Et malheureusement un seul moyen lui est venu à l’esprit… un moyen lâche certes mais efficace contre toutes sortes de problèmes.

Cela lui ferait tout oublier, toute sa tristesse, il n’aurait plus de problèmes...

En plus il avait déjà tout programmé, tout acheté sans que personnes ne s’en rende compte.

Il avait enfin trouvé une solution...

Heureusement que cet homme charmant se trouvait là à cet instant précis, jamais il ne le remercierait autant.

 

Retour en arrière

 

 

Un soir alors qu’il sortait de l’hôpital, une fois de plus en larme, un homme le percute accidentellement.

Gwen continue son chemin sans s’excuser, sans aider l’homme qui avait fait tomber des biens à lui par terre.

 

- Hé toi là! Tu pourrais au moins t’excuser, putain c’est quoi ces connards qui regardent pas où ils marchent et ne s’excusent même pas en percutant des gens!

 

Gwen se retourna réagissant vivement au mot « connard », il s’apprêtait à faire sortir toute la tristesse qui l’envahissait jusqu'à qu’il voit que l’homme remettait un petit sachet de poudre blanche dans sa poche...

Il fixait cette poche, toutes ses idées se percutaient dans sa tête, cela lui donnait une envie de tester... De se faire du bien...

L’homme comprit de suite, en plus il avait remarqué les larmes de Gwen, voyant alors son état de détresse évidente.

L’inconnu s’approcha de lui vivement en lui prenant les épaules pour aller dans un coin plus tranquille...

Arrivé au petit parc de l’hôpital maintenant désert, où juste quelques lumières l'illuminaient, il le mit sur un banc juste à côté de lui.

Il sortit un petit sachet de poudre blanche, le montra à Gwen en souriant.

 

- Ca réglera tous tes problèmes, tu veux tester un petit peu ? Et si c’est la peur de devenir accros qui te fait dire non, ne t’inquiète pas, ce n’est pas au bout de la première fois qu’on devient accros ...

 

Avec tous les arguments de ce jeune dileur, Gwen se laissa manipuler comme une poupée de chiffon.

Le dileur prit un bout de feuille et une paille, versa un peu de la poudre, assez pour qu’il soit sur que Gwen revienne le voir, mais en faisant attention de ne pas trop en mettre vu que c’était sa première fois, lui expliqua comment « consommer » la drogue.

Gwen fit exactement ce que le dileur lui dit de faire puis il ferma les yeux en attendent l’effet de celle-ci.

L’effet fut presque immédiat...

 

Fin du Flash back

 

 

Ce n’est pas du manque que ressentait Gwen mais une envie de planer encore comme la première fois, d’être libre, heureux.

De ne plus penser à la moitié de son cœur qui était couché dans ce lit d’hôpital, inerte.

Gwen alla chercher le sachet de poudre qu’il avait acheté au dileur, un bout de carton et vu qu’il n’avait plus de paille il inspira comme ça en bouchant une narine et en collant le bout de carton contre son autre narine.

Il alla dans la chambre de son frère, prit un de ses pulls puis se mit sur son lit en attendant l’effet recherché.

Cette fois ci ça à fait moins d’effet que la fois précédente, le plus jeune était en rage, pourquoi il ne se sentait pas comme la première fois.

Le plus jeune se releva alors en colère, puis versa la même dose que la première dans le carton puis inspira le plus fort possible.

 

Il se sentait planer, heureux, il n’avait plus aucuns soucis jusqu'à maintenant...

Mais ce qu’il ne savait pas, du moins se doutait pas c’est que la drogue qu’il avait acheté, il l’avait acheté à l’ex bande d’Enzo.

Il avait enrichi les hommes qui ont fait que son frère soit dans cet état, qu’il soit presque inconscient.

Et que la bande n’avait pas finit de lui gâcher la vie, ils avaient de suite prévenu que Gwen consommait ce genre de drogue.

De plus ils avaient ajouté à cette drogue des médicaments qui lui ferait accélérer le cœur...

 

Anaëlle venait de raccrocher le téléphone d’avec Gwen qu’elle reçue un SMS d’un certain « Jo » lui indiquant que Gwen risquait sa vie, qu’il se droguait...

Jo avait le bon rôle pour Annelle mais tout ceci n’était que pour qu’il obtienne dédommagement de ce que lui devait Enzo...

La meilleure amie de Gwen refusait d’y croire, pourtant elle avait besoin de se rassurer.

Elle avait besoin de voir Gwen, voir que tout ceci n’était qu’un canular.

Jamais il ne mettrait sa vie en danger, il voulait revoir Enzo, il l’attend depuis si longtemps, alors pourquoi abandonné maintenant ?

Anaëlle fonça chez Gwen le plus vite qu’elle put, elle avait le cœur qui lui faisait mal, la peur que ce soit vrai...

 

Gwen entendit sa meilleure amie l’appeler, elle avait l’air affolée...

Non pas Anaëlle maintenant, il ne fallait pas qu’elle sache ça, pas qu’elle le voit dans cet état.

Il lui avait promis qu’il ne ferait pas de connerie qu’il tiendrait le coup.

Il lui avait mentit, il n’a pas put, il va la décevoir.

Malgré qu’il soit sous l’effet de la drogue Gwen avait une larme qui jaillit du coin de son œil, pour ce perdre dans sa joue et finir sa course dans le pull de son frère.

 

Anaëlle fouilla la cuisine, la chambre de Gwen, le jardin puis fini par la chambre d’Enzo, la porte était entrouverte.

Elle pouvait apercevoir un pull à Enzo en boule et Gwen couché dans son lit.

Elle aperçut aussi une larme de Gwen...

Non...

Elle s’avança vers Gwen, lentement et pas rassuré, une boule au ventre...

Ses doutes ce confirmèrent Gwen était défoncé, ça se voyait qu’à sa tête.

Il était comateux, les yeux mi clos.

Sa meilleure amie s’avança vers lui, se mit à genoux devant lui, lui donna une gifle monumentale avant de le prendre dans ses bras, en pleurant :

 

- Gwen tu avais promis, pourquoi tu as fait ça, je te déteste, tu m’as mentit... 

- Anna... Anaëlle... Pardon...

- Enzo t’aurais tué de te voir comme ça, pense à lui merde, il serait déçu de toi que tu sois tombé aussi bas Gwen...

- Enzo...

 

Il se remit à pleurer mais cette fois ci pas une larme mais un flot de larmes...

Ca déchirait le cœur d’Anaëlle, elle ne l’avait encore jamais vu pleurer comme ça.

Maintenant elle était sur, Gwen aimait plus son frère qu’il voulait le prétendre.

 

- Adios, Amor, adios…*

 

Gwen chantonnait ces paroles, la langue espagnol était sa première langue vivante qu’il aimait pratiquer.

Anaëlle le tenait fermement dans ses bras, sans jamais le lâcher, lui montrer qu’elle était la.

Elle serait jusqu’au bout avec lui sans jamais le trahir comme lui a put le faire précédemment.

Elle lui en voulait, mais en même temps elle si cette situation lui était arrivé elle aurait fait pareil, elle n’aurait pas put tenir même avec toute l’aide du monde.

La jeune fille le comprenait parfaitement, c’est pour ça qu’elle allait lui pardonner, puis sa larme quand il l’avait vu lui a fait comprendre qu’il regrettait.

 

Elle resta là avec lui pendant deux heures le temps qu’il se calme, qu’il sèche ses larmes.

Il avait soif, mais elle ne voulait pas lui donner, il pouvait mourir en buvant, son corps ne contrôlant plus les directions, l’eau pouvait aller dans ses poumons.

Elle hésitait à appeler les pompiers ou le surveiller elle.

Finalement elle opta pour la deuxième proposition sinon ils voudraient parler à ses parents et surement lui retirer la garde de Gwen.

Elle voulait le protéger un maximum, elle prit soin de lui le mieux possible.

Ce n’est pas toujours facile de s’occuper d’un drogué mais Anaëlle le ferait te temps qu’il le faudrait enfin, elle le fait aujourd’hui mais demain elle l’empêchera de prendre cette saloperie.

C’est son rôle, vu que personne d’autre n’est là pour le faire.

Jamais elle ne remerciera assez ce « Jo » qui l’a prévenue, d’ailleurs elle lui renverra un message pour le remercier et lui demander comment il le sait.

 

Finalement, Anaëlle à 3 heures du matin fini par s’endormir son petit protégé dans ses bras.

Elle ne l’a pas lâché de la nuit, maintenant ils dorment enlacés, comme un « couple ».

Le lendemain préservait une longue explication pour Gwen...

 

*Adios, Amor, adios = Adieu, amour, adieu.

 

 

Par laptitemiss - Publié dans : Amour impossible
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