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Amour impossible

Mardi 10 juin 2 10 /06 /Juin 22:41
Désoler de l'attente mais je ne suis plus chez moi les week-ends en ce moment et la semaine je rentre a 19 heures pour 5 heures du matin debout.
Donc c'est dur dans ces conditions d'écrire, mais j'ai quand même réussit a vous pondre un chapitre =)
En espérant qu'il va vous plaire, je vous fait a tous un gros bisous et ungrand merci de vos commentaires.
_______________________________________________________________________________________________

 Le lendemain le jeune drogué ce leva en premier avec un mal de tête insupportable.

Il sentit des bras qui l’entouré affectueusement, il se sent compressé contre un corps...

Pendant quelques secondes, il avait espérer que ce soit Enzo mais bien vite la réalité vient  prendre le  dessus, ce n’était que Anaëlle.

Il essaya d’enlever doucement les deux bras qui l’entourés, sans réveiller sa jeune amie.

Mais celle-ci ce réveilla aussi tôt, qu’il soit en dehors du lit.

 

« -Vien de couché Gwen ! 

-Non je vais prendre un cachet pour mon mal de tête et j’ai faim moi

-Bon alors attend j’arrive

-Non non reste au lit toi »

 

Mais Anaëlle  était déjà en dehors du lit en train de mettre un pull à Gwen sur ses fines épaules.

Gwen partit en direction de l’armoire à pharmacie familial, Anaëlle le suivait.

Il se senté surveillé et il n’aimé pas sa mais cette fois ci il ne dit rien car après tout c’était de sa faute si elle était comme sa avec lui...

Il prit un doliprane, puis se dirigea vers la cuisiner, pieds nus, pour prendre un verre et le remplir d’eau.

Elle était toujours derrière lui...

Après avoir avalé son cachet il repartit en direction de la chambre de son frère, mais la douce voix de son amie l’arrêta dans son élan.

 

« -Gwen ? »

 

Voilà il en était sur elle allait lui poser un tas de questions, pourquoi, et surtout l’engueller.

 

« -Voui ?

-Pourquoi tu t’es drogué ?

 -Pour rien

-Me prend pas pour une conne, alors maintenant tu vas me donner tes raisons desuite !

-...

-Gwen je vais réellement me fâché la dit moi tout de suite.

-Enzo me manque, j’en peux plus t’est contente ! »

 

Puis il partit sur ses quelques mots dans la chambre de son frère, puis s’enferma à clef, sans oublier de claquer la porte.

Anaëlle quand à elle regretter d’avoir était aussi violente avec lui, il souffre et essaye de l’évacuer comme il peut et elle, elle l’enguelle, mais ce n’était pas une raison pour allé jusqu’à ce drogué.

La jeune fille toqua doucement à la porte en s’excusant d’avoir était aussi stupide, de lui avoir parlé méchamment     alors qu’il allait mal, et qu’il avait besoin de tout son soutient.

Mais elle précisa aussi que elle était en colère contre lui d’avoir prit ce genre de substance...

Gwen ouvra la porte, puis retourna sur le lit de son frère le même pull que la veille dans les bras, la tête enfouit dedans.

 

Elle s’approcha doucement de lui puis se mis assisse sur le lit à coté de lui en passant sa main tout le long de la colonne vertébrales.

Au bout d’un moment il se releva avec le pull dans les mains puis pour une fois c’est lui qui se jeta dans ses bras.

Elle lui caressa le cuir chevelu en lui murmurant des mots réconfortant a l’oreille, comme l’aurais fait une mère...

Elle se devait d’être la pour lui, avant Enzo pouvait le réconforté aussi, et il avait apparemment plus d’expérience vu que sa marché a chaque fois, mais maintenant il n’était plus la pour un temps indéterminé pour le faire.

Il finit par s’endormir dans les bras de sa meilleure amie qui continua malgré tout ses caresses.

Son sommeille était agité, il parlé, bouge de partout, crier parfois le nom de son frère, il est même jusqu’à presque taper Anaëlle car elle le tenait.

Il crier « Lâcher moi je veux le voir... »

A la fin Anaëlle le réveilla, en l’appelant par son prénom, à peine les yeux ouvert qu’une fois de plus il allât dans les bras de la fille et pleura en disant réellement ce qu’il éprouvé pour son frère.

« - Anaëlle il me manque, je l’aime trop, c’est pour sa que je me suis drogué, j’en peux plus, j’ai besoin de le toucher, lui parler, le voir rire, même pleuré et qu’il vienne dans mes bras...

J’ai besoin de se contact avec lui, j’ai déjà essayé de poser mes lèvres sur les siennes mais ce n’est pas la même chose quand il est dans ce lit...

C’est ma drogue, vu qu’il n’est plus la j’ai besoin d’autre chose, je ne vie que pour lui, pour le voir, même quand il me demande de le caresser j’aime sa, je sais que je lui fais du bien.

Anaëlle aide moi à ne plus ressentir ce manque de lui, je vais finir par en mourir, pourquoi il m’abandonne... 

-Non Gwen ne pense pas sa il ne t’abandonne pas, puis ne part pas sur des idées négative, il n’est pas mort, juste dans le coma, dit toi qu’un jour il reviendra près de toi, et ce jour tu le savoureras énormément.

Gwen je suis sur qu’il n’aimerait pas te voir comme sa, même si je suppose qu’il na pas la même vision que toi de l’amour qu’il te porte c’est quand même de l’amour, différent mais c’est de l’amour...

 

Anaëlle ne savais plus quoi dire, elle s’en douté un peu que Gwen aimé son frère autrement que par les liens fraternel mais de la a ce que sa se prouve elle é tait un peu sur le choque.

Elle l’écoutait, elle senté qu’il avait besoin de parler, sinon il risqué de faire beaucoup plus grave...

Elle serait toujours la quand il aura besoin d’elle, mais elle se senté un peu impuissante a la détresse de son amis.

 

Après une bonne heure ou elle a écouté Gwen elle l’amena vers la salle de bain, elle commença à défaire son pantalon de pyjama.

Elle régla l’eau de la douche, puis dit a Gwen, tout bouleversé, de s’approché d’elle.

La jeune fille s’approcha alors de Gwen puis baissa rapidement son boxer.

L’adolescent la regarda les yeux grand ouvert, en ne comprenant plus son amie, que va-t-elle faire ?

Pourquoi lui aussi il ne fait rien pour l’empêcher, il n’avait même plus la force de lui demander ce qu’elle voulait faire.

Pourtant le sourire d’Anaëlle le mettait en confiance.

Elle lui prit doucement la main, sans aucune résistance de sa part, puis l’amena dans un bain qu’elle lui avait fait couler.

Il se mit directement couché dedans, profitant de la chaleur de l’eau pour ce détendre, profité au maximum de ce moment.

Il sentit vaguement un gant ce promener sur ses épaules, son torse, ses jambes, ses pieds sans jamais s’approcher trop près de son intimité.

Il était presque heureux à ce moment, complètement détendu.

Il avait les yeux fermés pour encore mieux profité de ce moment.

« -Anaëlle Enzo me falta *»

Elle n’avait pas répondu, que répondre a sa ?

Elle continua de le lavé et de le détendre par la même occasion.

Une fois son lavage terminé, elle prit une longue serviette blanche, puis la tendit à Enzo qui était encore couché dans son bain.

Anaëlle l’appela, puis elle se retourna le temps qu’il se sèche et qu’il noue la serviette autour de sa taille.

Tout les deux ils partirent en direction de la chambre de Gwen cette fois ci.

Il s’habilla en silence, la jeune fille l’attend  couché sur son lit, dos à lui.

Une fois qu’il fut habiller il allât rejoindre son amie sur le lit, en s’approchant de son oreille pour murmuré deux mots simple mais qui disent beaucoup :

 

« -Merci beaucoup »

 

Annelle lui fit son plus beau sourire avant de déclarer en ce levant :

 

« -Bon maintenant on va manger je crève de faim moi

-Ta pas changé, rigola Gwen, toujours un estomac sur patte

-Non, mais toi aussi tu m’accompagne manger, go go go. »

 

Gwen voyant qu’il n’avait pas le choix, et connaissant la tête de mule qu’est son amie, se leva et la rejoins dans la cuisine.

Anaëlle avait déjà les bras pleins de choses, elle commencé à en mettre dans des verres, des bols...

Gwen se demandé vu tout ce qu’elle mange comment elle fait pour resté aussi mince.

Cinq minutes plus tard, Anaëlle ramener un plateau composé d’un verre de jus d’orange, un bol de café au lait, de la brioche tressé au chocolat, de la confiture, du pain et des biscottes, elle le posa devant Gwen puis en remmena un deuxième pour elle.

 Rien que de voir toute cette nourriture Gwen n’avait déjà plus faim, mais il était obligé de mangé sinon il allait réellement ce faire houspillé par Anaëlle.

Gwen prit son verre de jus d’orange lui en bu un peu, ensuite il bu une gorgé de son café au lait avec un petit bout de la brioche tressé au chocolat.

Il n’avalerait plus rien après avoir bu son verre de jus et son bol de café au lait.

Il regardait la jeune fille qui dévoré son plateau avec un appétit monstrueux.

Après avoir débarrassé son plateau il alla devant la télévision.

Un film était sur la chaine qu’il regardé et un homme était dans le coma

Le jeune homme se leva desuite puis partit desuite dans sa chambre sous le regard penné de  la jeune fille qui ne tarda pas à le rejoindre.

Quand elle entra dans la chambre elle le vit les yeux dans le vide en train de serré son cousin contre son cœur.

Une fois de plus elle essaya de le consoler comme elle le pouvait.

Elle ce dit que de le sortir lui ferait le plus grand bien, elle allait faire pour qu’il pense a autre chose, et non a son malheur.

Elle lui prit la main, comme a son habitude posa ses fine lèvres sur les joue humide de Gwen avant de le trainé en dehors de la maisonnette familiale.

 

Toute la mâtiné était concentré sur les magasins de vêtement, Anaëlle avait réussi a ce qu’il pense a autre chose et rigole de bon cœur avec elle.

Ensuite entre midi, ils sont allés a la pizzeria, Tout les deux ont prit leur pizza préféré celle aux 4 fromages.

Une fois leur pizza en main ils sont partis la mangé au bord d’un lac sur un banc.

 

Anaëlle avait prévue aussi un cinéma, un film a l’eau de rose.

Bien que Gwen ne détesté pas sa, il c’est endormit sur l’épaule d’Annelle qui s’en amusé.

 Vers la fin du film Gwen émergea de son rêve et vit Anaëlle les larmes aux yeux en disant : »C’est trop beau ».

C’était bien Annelle, elle avait les larmes facile pour les films de ce genre, c’est bien une fille pensa Gwen en souriant et prenant sa meilleur amie pour sortir.

La fin de journée passa étonnamment vite pour les deux jeunes.

Pour une fois les parents Guirao étaient présents.

Ils n’avaient pas l’air bouleversé par le fait que leur fils soit dans le coma.

Gwen était en rage contre eux, même pas s’il s’en soucier.

Pour eux c’est la vie est ils ne pourraient rien faire.

Depuis la fois que le médecin les a contactés ils ne sont plus allés le voir.

 

« -Maman tu viens voir avec moi Enzo ? 

-Mon chéris laisse un peu ton frère tranquille, s’il ne sort pas du coma c’est qu’il n’en a pas envie, ou qu’il n’en éprouve pas le besoin, il n’a pas les personne qui lui faut pour l’aidé à en sortir.

-Justement si t’allait le voir un peu peux être qu’il en sortira putain »

 

La phrase de sa mère lui a brisé le cœur, il n’en «éprouve pas le besoin »...

Mais Gwen a besoin de lui, pourquoi il ne répond pas à ses appels.

Pourquoi il ne revient pas rien que pour lui.

Il lui avait promit il serait toujours la pour son petit frère.

Gwen se sent abandonné, trahit.

 

Le plus jeune sauta par la fenêtre pour aller rendre visite à son grand frère.

Vu que ce n’était pas ses parents qui allait l’accompagné il irait par ses propre moyen.

Il y avait 10 kilomètres entre l’hôpital et chez lui.

Heureusement qu’Anaëlle était sous la douche a cette instant sinon il n’aurait pas pu y allé.

 

Une bonne heure plus tard il arriva a l’hôpital en remerciant un automobiliste qui a bien voulut le prendre en stoppe.

Il n’entra pas par la porte normale vu que a cette heure ci les visites étaient finit, mais par la porte du personnelle de service.

En faisant le moins de bruit possible il se rendit a la chambre de son frère.

La pièce était plongée dans le noir totale.

Le corps de l’aîné était recouvert d’un drap, on pouvait distinguer les formes de son corps sous la nuisette blanche de l’hôpital.

Gwen posa sa main sur le torse de son frère.

Il resté debout devant lui immobile.

Son corps avait maigris, son sourire avait disparut, il avait l’air malheureux.

Gwen posa tendrement ses lèvres sur ses jumelles avant de s’assoir sur le bord du lit et de poser sa tête sur le torse de son frère.

 

« -Je t’aime, je t’aime, je t’aime mon ange, réveille toi, j’ai trop besoin de toi, s’il te plait Enzo... »

 

Gwen enchainé les baisers, sur son cou, son visage angélique, ses lèvres, ses paupières closes, sa pomme d’Adam ...

Il continua sans jamais se lasser, en appréciant la peau douce qui passé sous ses lèvres.

Pendant une bonne heure le silence totale régné dans la pièce seule le bruit des baisers de Gwen animé cette chambre.

Sans une parole, sans un soupire, sans une larme de détresse...

 

 

 

 

 

 

 

*Anaëlle Enzo me falta = Anaëlle Enzo me manque

 

Par laptitemiss - Publié dans : Amour impossible
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Vendredi 16 mai 5 16 /05 /Mai 19:06

Voilà un nouveau chapitre qui arrive après mes vancances.
Plus de nouvelle de moi car j'était partie une semaine pour prendre un peu de recul.
Voilà jespère qu'il vous plaira.
N'ésitez pas a laisser vos avis.
Comme d'habitude je le met avant la correction finale qui viendra plus tard :)____________________________________________________________________________________

Gwen rentra chez lui, le morale au plus bas…

Il appela Anaëlle pour lui passer un petit bonjour et surtout lui parler une dernière fois dans un état normal, elle allait lui manquer.

D’ailleurs elle faisait partie des deux seules personnes pour qui il donnerait sa vie.

 

Dieu que Enzo lui manquait, s’engueuler avec lui, se battre en rigolant avec lui, le toucher intimement ou non, tout lui manquait.

Enzo était sa drogue, il ne pouvait plus s’en passer, il était à bout.

Cela fait des mois qu’il l’attend, il ne se sent plus capable de continuer, malgré tous les gens qui sont là pour lui il n’en peut plus.

Et malheureusement un seul moyen lui est venu à l’esprit… un moyen lâche certes mais efficace contre toutes sortes de problèmes.

Cela lui ferait tout oublier, toute sa tristesse, il n’aurait plus de problèmes...

En plus il avait déjà tout programmé, tout acheté sans que personnes ne s’en rende compte.

Il avait enfin trouvé une solution...

Heureusement que cet homme charmant se trouvait là à cet instant précis, jamais il ne le remercierait autant.

 

Retour en arrière

 

 

Un soir alors qu’il sortait de l’hôpital, une fois de plus en larme, un homme le percute accidentellement.

Gwen continue son chemin sans s’excuser, sans aider l’homme qui avait fait tomber des biens à lui par terre.

 

- Hé toi là! Tu pourrais au moins t’excuser, putain c’est quoi ces connards qui regardent pas où ils marchent et ne s’excusent même pas en percutant des gens!

 

Gwen se retourna réagissant vivement au mot « connard », il s’apprêtait à faire sortir toute la tristesse qui l’envahissait jusqu'à qu’il voit que l’homme remettait un petit sachet de poudre blanche dans sa poche...

Il fixait cette poche, toutes ses idées se percutaient dans sa tête, cela lui donnait une envie de tester... De se faire du bien...

L’homme comprit de suite, en plus il avait remarqué les larmes de Gwen, voyant alors son état de détresse évidente.

L’inconnu s’approcha de lui vivement en lui prenant les épaules pour aller dans un coin plus tranquille...

Arrivé au petit parc de l’hôpital maintenant désert, où juste quelques lumières l'illuminaient, il le mit sur un banc juste à côté de lui.

Il sortit un petit sachet de poudre blanche, le montra à Gwen en souriant.

 

- Ca réglera tous tes problèmes, tu veux tester un petit peu ? Et si c’est la peur de devenir accros qui te fait dire non, ne t’inquiète pas, ce n’est pas au bout de la première fois qu’on devient accros ...

 

Avec tous les arguments de ce jeune dileur, Gwen se laissa manipuler comme une poupée de chiffon.

Le dileur prit un bout de feuille et une paille, versa un peu de la poudre, assez pour qu’il soit sur que Gwen revienne le voir, mais en faisant attention de ne pas trop en mettre vu que c’était sa première fois, lui expliqua comment « consommer » la drogue.

Gwen fit exactement ce que le dileur lui dit de faire puis il ferma les yeux en attendent l’effet de celle-ci.

L’effet fut presque immédiat...

 

Fin du Flash back

 

 

Ce n’est pas du manque que ressentait Gwen mais une envie de planer encore comme la première fois, d’être libre, heureux.

De ne plus penser à la moitié de son cœur qui était couché dans ce lit d’hôpital, inerte.

Gwen alla chercher le sachet de poudre qu’il avait acheté au dileur, un bout de carton et vu qu’il n’avait plus de paille il inspira comme ça en bouchant une narine et en collant le bout de carton contre son autre narine.

Il alla dans la chambre de son frère, prit un de ses pulls puis se mit sur son lit en attendant l’effet recherché.

Cette fois ci ça à fait moins d’effet que la fois précédente, le plus jeune était en rage, pourquoi il ne se sentait pas comme la première fois.

Le plus jeune se releva alors en colère, puis versa la même dose que la première dans le carton puis inspira le plus fort possible.

 

Il se sentait planer, heureux, il n’avait plus aucuns soucis jusqu'à maintenant...

Mais ce qu’il ne savait pas, du moins se doutait pas c’est que la drogue qu’il avait acheté, il l’avait acheté à l’ex bande d’Enzo.

Il avait enrichi les hommes qui ont fait que son frère soit dans cet état, qu’il soit presque inconscient.

Et que la bande n’avait pas finit de lui gâcher la vie, ils avaient de suite prévenu que Gwen consommait ce genre de drogue.

De plus ils avaient ajouté à cette drogue des médicaments qui lui ferait accélérer le cœur...

 

Anaëlle venait de raccrocher le téléphone d’avec Gwen qu’elle reçue un SMS d’un certain « Jo » lui indiquant que Gwen risquait sa vie, qu’il se droguait...

Jo avait le bon rôle pour Annelle mais tout ceci n’était que pour qu’il obtienne dédommagement de ce que lui devait Enzo...

La meilleure amie de Gwen refusait d’y croire, pourtant elle avait besoin de se rassurer.

Elle avait besoin de voir Gwen, voir que tout ceci n’était qu’un canular.

Jamais il ne mettrait sa vie en danger, il voulait revoir Enzo, il l’attend depuis si longtemps, alors pourquoi abandonné maintenant ?

Anaëlle fonça chez Gwen le plus vite qu’elle put, elle avait le cœur qui lui faisait mal, la peur que ce soit vrai...

 

Gwen entendit sa meilleure amie l’appeler, elle avait l’air affolée...

Non pas Anaëlle maintenant, il ne fallait pas qu’elle sache ça, pas qu’elle le voit dans cet état.

Il lui avait promis qu’il ne ferait pas de connerie qu’il tiendrait le coup.

Il lui avait mentit, il n’a pas put, il va la décevoir.

Malgré qu’il soit sous l’effet de la drogue Gwen avait une larme qui jaillit du coin de son œil, pour ce perdre dans sa joue et finir sa course dans le pull de son frère.

 

Anaëlle fouilla la cuisine, la chambre de Gwen, le jardin puis fini par la chambre d’Enzo, la porte était entrouverte.

Elle pouvait apercevoir un pull à Enzo en boule et Gwen couché dans son lit.

Elle aperçut aussi une larme de Gwen...

Non...

Elle s’avança vers Gwen, lentement et pas rassuré, une boule au ventre...

Ses doutes ce confirmèrent Gwen était défoncé, ça se voyait qu’à sa tête.

Il était comateux, les yeux mi clos.

Sa meilleure amie s’avança vers lui, se mit à genoux devant lui, lui donna une gifle monumentale avant de le prendre dans ses bras, en pleurant :

 

- Gwen tu avais promis, pourquoi tu as fait ça, je te déteste, tu m’as mentit... 

- Anna... Anaëlle... Pardon...

- Enzo t’aurais tué de te voir comme ça, pense à lui merde, il serait déçu de toi que tu sois tombé aussi bas Gwen...

- Enzo...

 

Il se remit à pleurer mais cette fois ci pas une larme mais un flot de larmes...

Ca déchirait le cœur d’Anaëlle, elle ne l’avait encore jamais vu pleurer comme ça.

Maintenant elle était sur, Gwen aimait plus son frère qu’il voulait le prétendre.

 

- Adios, Amor, adios…*

 

Gwen chantonnait ces paroles, la langue espagnol était sa première langue vivante qu’il aimait pratiquer.

Anaëlle le tenait fermement dans ses bras, sans jamais le lâcher, lui montrer qu’elle était la.

Elle serait jusqu’au bout avec lui sans jamais le trahir comme lui a put le faire précédemment.

Elle lui en voulait, mais en même temps elle si cette situation lui était arrivé elle aurait fait pareil, elle n’aurait pas put tenir même avec toute l’aide du monde.

La jeune fille le comprenait parfaitement, c’est pour ça qu’elle allait lui pardonner, puis sa larme quand il l’avait vu lui a fait comprendre qu’il regrettait.

 

Elle resta là avec lui pendant deux heures le temps qu’il se calme, qu’il sèche ses larmes.

Il avait soif, mais elle ne voulait pas lui donner, il pouvait mourir en buvant, son corps ne contrôlant plus les directions, l’eau pouvait aller dans ses poumons.

Elle hésitait à appeler les pompiers ou le surveiller elle.

Finalement elle opta pour la deuxième proposition sinon ils voudraient parler à ses parents et surement lui retirer la garde de Gwen.

Elle voulait le protéger un maximum, elle prit soin de lui le mieux possible.

Ce n’est pas toujours facile de s’occuper d’un drogué mais Anaëlle le ferait te temps qu’il le faudrait enfin, elle le fait aujourd’hui mais demain elle l’empêchera de prendre cette saloperie.

C’est son rôle, vu que personne d’autre n’est là pour le faire.

Jamais elle ne remerciera assez ce « Jo » qui l’a prévenue, d’ailleurs elle lui renverra un message pour le remercier et lui demander comment il le sait.

 

Finalement, Anaëlle à 3 heures du matin fini par s’endormir son petit protégé dans ses bras.

Elle ne l’a pas lâché de la nuit, maintenant ils dorment enlacés, comme un « couple ».

Le lendemain préservait une longue explication pour Gwen...

 

*Adios, Amor, adios = Adieu, amour, adieu.

 

 

Par laptitemiss - Publié dans : Amour impossible
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Mardi 15 avril 2 15 /04 /Avr 20:29

Hey oui que 4 jours après, je crois que je suis malade décidement ^^
Non ya aussi vos commentaires qui m'encourage
Et pour répondre a "Franch" NOn je n'oublie pas Deux hommes un destin même si je suis plus inspirer la par "Amour impossible".
Merci a tout le monde pour vos com's,bonne lecture et à bientot =).
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Gwen finalement s'endormit épuisé par la douleur, la peur et l'amour.

Il se mit en position fœtale dans le lit de l'hôpital, plongé dans un sommeil sans rêves, mais plutôt de cauchemars.

 

- Monsieur, réveillez-vous, s'il vous plaît...

- Hum... mon frère...

-C'est à dire que monsieur Guirao, votre frère Enzo Guirao, nous a quitté il y a 15 minutes.

- Non... pas mon frère, non ce n’est pas possible...

- Je suis vraiment confuse monsieur.

 

Puis l'infirmière s'en alla en laissant la peine de Gwen l'envahir.

 

 

Gwen se réveilla en sueur, avec une infirmière devant lui, elle l'appelait "Monsieur" d'où son rêve, elle lui demanda s’il se sentait bien.

 

- Oui, oui ça va c'est un cauchemar, mais mon frère vous avez des nouvelles??

- Oui il est en salle de réveille, l'opération c'est bien passé, il va bientôt en chambre alors s'il vous plaît pourriez vous sortir du lit.

- Bien, merci beaucoup pour les nouvelles, merci vraiment, répondit Gwen avec un énorme poids en moins.

 

Gwen alluma la télé pour patienter, il avait énormément mal au bras, les images défilaient mais ils ne les regardaient pas. Ses pensées étaient ailleurs, bien plus loin... Au bout d’une attente incalculable, Gwen vit un lit rentrer dans la chambre. Des machines reliées à son corps faisaient un nombre incalculable de bruits différents. Il avait des perfusions à chaque bras, et un tuyau de respirateur artificiel dans le nez.

Il ne bougeait pas, malgré tous les hématomes différents parsemant son visage, il n'en était pas moins angélique.

Les barres de sécurités du lit étaient relevées, avec des télécommandes diverses accrochées, sûrement pour les machines.

 

Gwen avait une boule dans le ventre, les yeux qui brûlaient, les entrailles qui se déchiraient à vif, la gorge sèche.

Son frère... Il y a moins d’une semaine jamais il ne se serait imaginé voir son frère dans cet état.

À moitié mort, voilà comment il le voyait maintenant.

Il étouffait malgré la pièce remplit d'air, il n'arrivait pas à respirer comme il faut, tellement les entrailles et son cœur lui faisaient mal.

Il agonisait, mais ses yeux ne bougeaient pas de sa trajectoire, il avait besoin de le voir.

Heureusement qu'il était assis sur une chaise proche du lit du malade, jamais ses jambes n'auraient supportées son poids, maintenant trop important pour lui.

Son bras gauche se dirigea vers le corps inerte de son frère.

Sa main au poignet cassé lui caressait le visage, tellement doux pensa Gwen.

 

Le brancardier, les infirmières assistaient à cette scène déchirante, tellement triste.

Voilà les aspects du métier que personnes n'aiment, sentant que Gwen allait très mal, une infirmière alla doucement vers lui.

Elle mit tendrement sa main sur l'épaule du jeune homme, mais celui ci ne fit pas du tous attention à ce qui l'entourait, plus rien d'autre ne comptait pour lui que son aîné.

 

- Vous devriez peu être aller prendre l'air, vous changez les idées, je pense que ça vous ferait du bien.

 

Bien entendu elle ne reçu pas de réponse, Gwen était dans un état mental second, le vide l'entourait, plus rien n'existait.

 

- Monsieur, recommença l'infirmière, en le secouant légèrement.

 

Une dizaines de minutes plus tard, Gwen avait le visage dévasté par les larmes trop longtemps retenues, et sembla revenir dans un état "normal".

Son corps était secoué par de longs sanglots, deux infirmiers sont venus entre temps pour prendre Gwen et le faire sortir prendre l'air, sinon il va faire un malaise, il ne fallait pas qu'il reste une minute de plus dans la pièce.

Les deux hommes qui l'aidaient pour sortir de cette pièce ne se doutaient pas du tout qu'ils étaient frères, et pensaient qu'ils étaient amant.

Ils l’avaient installé sur un banc dans les jardins de l'hôpital, Gwen se laissait faire tel une feuille morte qu'on déplace à sa guise.

Les yeux se perdant dans le vide, l'esprit encore chamboulé par cette découverte.

 

- Monsieur??

- ... 

- Monsieur, s’il vous plait??

- Oui ? Un oui prononcé sans la moindre émotion, le moindre signe de vie. 

- Je suis désolé de vous demander ça, mais quelles sont vos relations avec Monsieur Enzo Guirao? 

- Frère, rien que de simples frères...

- Merci beaucoup, un médecin va venir vous voir, il voudrait vous parler.

 

Les yeux du cadet se perdirent dans la nature, des fleurs parsemé partout sur le sol, avec les abeilles qui viennent les butiner.

Les arbres fleuris, l'herbe verte grasse, les oiseaux qui chantent sur les branches, le soleil qui vient donner un air romantique à cet ensemble.

La beauté de la nature, son calme reposant, jamais pareil, jamais lassant.

On pouvait s'y perdre des heures, sans jamais sortir de ce monde de paix.

Un moment de pur bonheur, malgré toute la tristesse aussi forte soit elle, ce monde nous aide.

Ses yeux s’arrêtèrent sur un couple d'hirondelle, amoureux, proche de leurs nis douillet, nis d'amour, remplis d'enfants, signe d'amour éternel.

Ils chantaient à tour de rôle en se frottant l'un contre l'autre, amoureusement.

Heureux, voilà ce qu'il voulait, être heureux avec l'homme qu'il aime, dans un monde semblable à celui ci.

Sans haine, violence, sans tristesse, que de la joie, un monde parfait où personnes ne goûteraient au fruit interdit.

 

Le médecin en question le coupa dans ses pensés, en s'installant à côté de lui et se perdant dans ce monde magique.

 

- C'est beau n'est-ce pas? 

- Oui magnifique, j'admire.

- C'est tellement calme, agréable, parla le jeune médecin admiratif. 

- ...

- Vous êtes bien le frère d'Enzo?

- Effectivement.

- Votre frère a eu beaucoup de chance que vous étiez là pour nous l'amener...

- Sinon?

- Sinon il aurait eu des séquelles beaucoup plus grave, voir la mort.

- Et maintenant, que va t-il devenir?

- Votre frère, est dans un coma indéterminé, ce qui est certain c'est qu'il se réveillera un jour, mais quand, je pense qu'il attend une raison pour se réveiller.

- Mais merde, on est là nous, pourquoi attendre une raison alors qu'il nous manque déjà, son sourire, sa bonne humeur quotidienne...

- Vous avez un numéro où nous pourrions contacter vos parents s'il vous plait?

- Ils sont comme d'habitude au travail, je ne connais pas leur numéro, vu que dès qu'on les appelait, ils nous disent qu'ils sont occupés et qu'on les rappelle plus tard.

- Donc vous vivez presque qu’avec votre frère? 

- Exacte, mon frère c'est tout pour moi, s'il ne se réveille pas vite, je ne pourrais pas m'en remettre.

- Allez lui dire tout ça, peux être que votre amour fraternel va l'aider à revenir parmi nous, essayez.

-Oui j'irais lui dire tout mon amour... Fraternel...

- Quelque chose ne va pas?

- Non non, merci docteur, je vais tout de suite le voir, au revoir.

 

Gwen se dirigea vers la chambre blanche de son frère, où il était dans un sommeil indéterminé, où il se réveillerait quand l'humeur lui prendra.

Devant la porte de la chambre, il ne savait que faire, aller le voir ou non, la peur de le voir lui nouait les entrailles.

Finalement, avec une infirmière qui venait lui faire les soins il rentra dans la chambre silencieuse.

Il prit une chaise, la plaça à côté du lit de l'aîné, il regardait la vision angélique que reflétait son visage. Le temps passait sans qu'il s'en aperçoive, il n'avait même pas vu l'infirmière qui avait finit les soins et qui été partit.

Gwen glissa sa main sous le drap fin du lit à la recherche de la main d'Enzo, une fois celle-ci en sa possession il enlaça ses doigts aux siens.

Un doux baiser se perdit dans la peau veloutée de la joue du Brun.

Le plus jeune finit par s'endormir la tête contre le torse de l'aîné, sa main toujours dans la sienne.

 

Plusieurs infirmières étaient passé voir Gwen et surveiller Enzo mais aucune n'osa le réveiller pour qu'il rentre chez lui, il avait l'air tellement détendu en compagnie de son frère.

Les larmes précédemment coulé sont encore sur son visage, même malgré la tristesse qui se lisait sur son visage, il n'en restait néanmoins magnifique d'après certaines d'entre elles.

Ce n'est que le lendemain que la plus jeune du service réveilla Gwen, en lui posant la main sur l'épaule est l'appelant par son nom de famille.

Il la regarda d'un air qui voulait dire "laissez-moi tranquille" puis tourna sa tête en direction du visage de l'aîné sans pour autant l'enlever de son torse.

L'infirmière qui jugea que ça ne servirait à rien qu'elle insiste partit de la chambre, sans un mot de plus a l'intention de Gwen.

Celui ci se leva de sa chaise pour dire bonjours à son frère, il déposa ses lèvres sur les siennes dans un baiser qui voulait lui prouver tout son amour pour lui.

Il regrettait de ne pas l'avoir fait avant, quand il était encore la pour réagir, lui dire ce qu'il en pense.

Une larme rejaillit du coin de l'œil de Gwen est tomba dans le creux des lèvres de son frère, qui glissa dans sa bouche.

Comme s'il voulait avaler sa peine, le soulager, le réconforter.

Le garçon aux cheveux noir jugea qu'il devait partir, il n'en supporterait pas plus, voir son frère qui a faillit être son amant d'une nuit dans un lit, inerte, sans le moindre signe de vie à part les machines qui faisaient des "bips" réguliers.

 

L'état d'Enzo restait stable, il n'était toujours pas décidé à vouloir se réveiller. Il avait l'air bien où il était, dans son monde imaginaire où lui seul pouvait décider de la tournure des choses.

Même malgré les supplications de Gwen, il ne revenait pas.

À croire qu'il ne voulait pas croire le plus le voir, enfin c'est ce que pensait Gwen.

Tous les jours après les cours ou tout le samedi et le dimanche toute la journée il était au chevet de son frère, à veiller sur lui, le supplier aussi.

Des heures où les larmes coulaient toutes seules de ses yeux, où il profitait des lèvres de son tendre aimé, sans qu'il ne puisse répondre à ses baisers.

C'est un Gwen fatigué et démoralisé qui allait tous les jours voir son frère.

 

Des heures, des jours, des semaines, des mois s'écoulaient sans que rien ne change.

Gwen n'avait plus son plâtre ainsi que son attelle.

Tout était rentré dans l'ordre, il allait pour le mieux physiquement.

Mais mentalement ça ne cessait de s'empirer, même sa meilleure amie ne pouvait plus rien pour lui elle était impuissante face à son état de détresse.

Elle ne savait plus quoi faire pour lui changer les idées, tout avait était fait...

Anaëlle ne pouvait qu’être présente pour lui et l'écouter s’il éprouvait le besoin de parler.

 

 

Un matin, le soleil venait doucement pointer la façade blanche de l'hôpital de ses rayons d'été.

Gwen avait passé toute sa nuit avec son frère, il avait prit la petite place qu'il y avait dans le lit et s'était couché au près de lui.

Il lui avait parlé toute la nuit de son projet pour l'avenir de chacun d'entre eux.

Il avait décrit tout dans les moindres détails et une seule personne pouvait chambouler tous ses projets, lui.

Il avait profité de lui pour la dernière fois, bientôt tout sera fini, Gwen ne souffrira plus, jamais.

Là où il allait personnes ne le jugerais...Il serait dans son petit monde rien qu’à lui...

Gwen murmura ses dernières paroles à l'intention de l'aîné avant de l'embrasser une ultime fois:

 

"Je t'aime grand frère, tu seras à tout jamais dans mon cœur, même si le destin en a décidé autrement. Je t'aime mon amour..."

 

 

 

Par laptitemiss - Publié dans : Amour impossible
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Vendredi 11 avril 5 11 /04 /Avr 18:53

Non non vous ne revez pas cette fois ci j'avais envie de posté un peu plus tot, mais cette semaine je n'ai pas pu je n'ai pas été chez moi alors dès que je suis rentré je vous le publie.
Merci a Marie, Bryce, meryl et Styara pour leurs commentaires.
Par contre j'ai vu que plusieurs personnes sont passé mais ne m'on pas doné leur avis...
Dites moi si c'est nul ce que j'écrit j'accepte toutes les critiques, construite et valable bien sur.
Mais au moins laissé votre avis !!!!
Merci aux autres
Bon week end à tout le monde et bonne lesture, le chapitre a des fautes vu qu'il a était en partie corrigé par Flo' mais
il reste des fautes!!!!!!
Merci beaucoupss Flo d'ailleur
_____________________________________________________________________________________________

Lui faire l'amour, à lui, non il a rêvé ces paroles tant désirées, c'est possible, pourtant il était bien là couché dans son lit.

Alors qu'attendait-il ? Pourquoi hésitait-il ? Pour toutes réponses il reposa ses lèvres sur ses jumelles.

Décidément Enzo faisait tout pour l'exciter, ses caresses devinrent plus précisent, plus prolongées, mais surtout plus lente pour le faire languir.

Enzo se retrouva par-dessus son petit frère sans que celui-ci n'ait le temps de le remarquer, trop absorbé par ce baiser plus que chaud.

Gwen se retrouva rapidement sans jean et sans boxer, son frère utilisait ses doigts à la perfection.

D'ailleurs il allait bientôt être sous ses doigts expert, Enzo déposait de tendres baisers sur son torse parfaitement dessiné, ses abdos se contractaient, il était en extase avec ci peu, mais ce "ci peu" combien de fois il y a rêvé.

Le plus âgé se retrouva rapidement vers une zone sensible du corps de son frère, il s'amusa à repasser sa langue plusieurs fois dessus, juste pour voir le corps de son cadet se contracter vu le plaisir qu'il lui procurait.

Gwen se releva, il regarda le visage angélique de son frère, il imprima ces moments dans sa mémoire, des moments qui ne se reproduiront jamais, il en était convaincu!

Les yeux de l'aîné brillaient d'excitation, mais ses yeux brillant étaient aussi du à une quantité d'alcool importante dans son sang, pensa Gwen avec une pointe de tristesse.

Mais il oublia vite sa tristesse quand il constata qu'Enzo se dirigeait dangereusement vers son entrejambes déjà dressé.

Il fit tout cela avec perfection, comme s'il était déjà entraîné, comme si on lui avait apprit à être parfait.

À peine les lèvres du plus vieux frôlèrent la partie intime du plus jeune, que celui-ci gémissait fortement.

Enzo ravit de la réaction de son "amant" entreprit de progresser mais lentement, juste pour qu'il lui demande ce qu'il voulait, il le ferait.

Il passa sa langue tout le long de la verge dressée de Gwen, puis entama de petits mouvements de sucions sur le gland tout en le caressant entre les cuisses.

L'érection de celui-ci était tellement douloureuse, qu'il fut obligé de demander à son aîné de le sucer plus profondément, ce qu'il fit tout de suite avec le plus grand plaisir.

Etonnamment, le plus vieux s'y prenait à merveille, il était au comble du plaisir, sa bouche et sa langue étaient parfaitement coordonnées, tout était fait pour que Gwen soit au paroxysme du plaisir.

L'excitation, l'expérience d'Enzo, il ne pourrait pas tenir longtemps.

Son corps de soulevait au rythme des vas et vient de l'aîné.

Tout transpirant, il gémissait sans se retenir, criant presque son plaisir.

Il ne fallut pas plus de temps, pour que Gwen jouisse en criant le nom de l'homme qu'il aime.

Celui-ci s'en délecta avec plaisir, puis continua son exploration, pas après un baiser que l'on pourrait qualifier amoureux.

Il descendit vers une cavité attirante, mais seulement le plus jeune commençait à prendre conscience de ses actes et surtout de la situation dans laquelle ils étaient.

Malgré le plaisir étonnant, Gwen se releva et releva son frère par la même occasion.

Il prit son visage entre ses mains, puis l'embrassa en essayant de lui faire passer à travers celui-ci tout l'amour qu'il lui portait, puis coucha son frère aux pupilles dilaté dans le lit.

Il partit sans demander son reste mais pas sans un énième regard amoureux à l'intention de son frère, qui somnolait déjà.

 

Arrivé à sa chambre, il était déjà triste d'avoir brisé un moment aussi tendre et surtout inimaginable entre eux deux.

Il avait envi de plus, mais seulement que se serait-il passé s'il lui avait fait l'amour et qu'Enzo s'en souvenait ? Non pour rien au monde il ne voulait se fâcher avec son frère et ne plus le voir.

Il préférait devoir "subir" les différentes filles de son frère que de ne plus le voir...

Finalement il se coucha en repensant à la fellation parfaite de son aîné, un moment qui resterait à jamais gravé dans sa mémoire.

Mais seulement il s'endormit sur une question encore trouble: pourquoi Enzo est revenu dans cet état?

 

Le lendemain; Gwen fut réveillé à 7 heures, l'heure habituelle pour aller en cour.

Quand il arriva dans la cuisine, il vit les vêtements de ses parents un peu éparpillés, ils avaient donc apparemment passé une bonne soirée, mais seulement il ne vit pas son frère, qui se levait une demi-heure avant lui étant assez coquet.

Il partit directement dans la chambre de son frère, le cœur battant à toute allure, il avait peur, mais peur de quoi il ne le savait pas.

La main sur le poigné de la porte il tremblait et s'il se souvenait de la soirée dernière, que se passerait-il?

Finalement après une longue inspiration, il ouvrit la porte et il était encore endormit.

Gwen alla le réveiller le plus tendrement possible, mais celui-ci pestait à se lever, il se plaignait d'un fort mal de crâne.

Pas étonnant après ce qu'il avait ingurgité comme alcool, le plus jeune alla lui chercher deux dolipranes avec un verre d'eau.

Enzo les avala immédiatement, puis se recoucha sous le regard médusé et attendrit de son frère.

 

Gwen partit finalement de la chambre, pensant qu'une journée de repos ne lui ferait pas de mal.

Il se prépara rapidement, laissa un mot à l'intention de son frère, puis partit rapidement à son arrêt de bus, joyeux.

Le trajet de passa dans la même ambiance, dans la bonne humeur et la joie.

Très vite, Gwen arriva au lycée et il fut directement accosté par Anaëlle, qui lui sauta dans les bras, puis lui embrassa les deux joues comme à son habitude.

Une fois de plus il râla contre la jeune fille, mais il l'a reprit directement dans ses bras.

Celle-ci remarqua rapidement la bonne humeur de son meilleur ami et se posa donc des questions mais préféra se taire.

 

Ils parlèrent de tout et de rien pendant un petit moment jusqu'à ce qu'ils soient coupés par la sonnerie qui indiquait la rentrée en cours.

Finalement la journée se passa sans encombre, dans la bonne humeur et surtout très vite pour Gwen.

Le soir même, à la sortie des cours, Gwen disait au revoir à sa meilleure amie, puis rentra chez lui, retrouver l'homme qui occupe toutes ses pensées.

À mi-chemin, Gwen croisa une bande qu'il connaissait trop bien, l'ex bande de son frère, qui maintenant était connu pour trafics de drogue, viols et tout genre d'infractions aux lois.

Il passa devant eux, la tête baissé, puis marchait le plus vite possible.

Seulement, un des mecs de la bande réagit:

 

- Ho Gwen arrêtes toi on doit parler, ce qui fut suivit de quelques rires sadiques des autres.

 

 

Il s'avança le plus naturellement possible vers cette bande peu commode, la tête toujours baissé et les mains dans les poches.

À peine qu'il fut à quelques mètres, que les "brutes" de la bande se jetaient sur lui pour le ruer de coups.

En quelques secondes Gwen se retrouvait couché par terre, en plein milieu d’une flaque d'eau, tout en recevant encore des coups de pieds, dans la figure, le ventre...

Le dirigeant de la bande se rapprocha de ce massacre, fit signe à ses amis d'arrêter, puis souleva le frêle corps de Gwen tout en le menaçant:

 

- Si ton frère ne nous donne pas son joli cul, crois-moi que tu en reprendras des coups comme cela et ton cher frère aussi, puis je dénoncerais aux flics votre petit manège si tu vois ce que je veux dire... Dit-il en mimant une fellation.

 

 

Comment pouvait-il savoir, non jamais il ne toucherait à Enzo.

Il se prendrait des coups, autant qu'il le faudra mais jamais Enzo ne souffrira.

Il se releva difficilement, puis marcha du mieux qu'il pu, pour reprendre sa route initiale.

Il arriva temps bien que mal chez lui, puis alla de suite dans sa chambre, fatigué d'avoir fait temps d'effort pour pouvoir rentrer chez lui.

Il ne prit même pas la peine de se changer, ni se soigner...

 

Enzo qui passait dans le couloir, qui relit sa chambre a celle de son frère, le vit courir et claquer la porte de sa chambre.

Il avait l'air tout sale, mouillé et s’il ne s'était pas trompé il avait vu du sang.

Le plus vieux alla alors directement voir le plus jeune qui était couché dans son lit, tremblotant et sanglotant.

Enzo alla directement le prendre dans ses bras, essayant de le consoler du mieux qu'il pouvait.

Il passa sa main dans ses cheveux, les caressants tendrement.

Quelques minutes après le plus jeune se calma dans les bras de son frère mais aussi celui qu'il aime.

Enzo le coucha sur le lit, puis lui retira tous ses vêtements jusqu'au boxer, ensuite il lui tendit son bas de pyjama, qu'il enfila puis se glissa sous ses couettes.

Enzo partit de la chambre quelques instants, puis revient avec le nécessaire pour le soigner.

Il fit cela dans une douceur infinie, que Gwen n'avait jamais vu ça de la part de son frère.

 

Une fois tout cela fini, Enzo mit tout cela de côté, puis vint rejoindre son frère dans son lit et le reprit dans ses bras pour recommencer à le cajoler.

Le plus vieux chantait au plus jeune une chanson que leur mère leur chantait quand ils n’allaient pas bien ou qu'ils avaient eu une dispute ce qui était rare.

Il le berçait en même temps, si bien que Gwen fini par s'endormir dans ses bras, les bras de l'homme qu'il aime en secret.

Enzo le suivit peu de temps après, se disant que son soutient pour cette nuit lui serait utile, mais par contre il saurait qui lui a fait ça et il le payera cher, personne n'a le droit de le toucher.

 

Dans la nuit Enzo se réveilla à cause des sanglots déchirant de son frère, il le prit de suite dans ses bras pour recommencer la même chose qu'il y a quelques heures, mais avec une envie en plus, savoir ce qui le tracasse.

Il lui passa la main tendrement dans les cheveux, puis dans le haut du dos jusqu'en bas, Gwen malgré sa tristesse évidente frissonnait sous les caresses poussées de son frère.

Il resta une longue partie de la nuit dans les bras experts de son frère, sans dire un mot, déversant juste sa peine, mais surtout il avait peur pour celui qu'il aime, il avait comprit le petit manège de la bande.

Le plus vieux était mené par le bout du nez et il acceptait cela sans rien dire.

Gwen repensait aux paroles du chef de la bande"Si ton frère nous donne pas son joli cul" ce qui voulait dire qu'il l'avait sûrement déjà donné à ces ordures.

Maintenant il comprenait pourquoi il était homophobe si on lui faisait subir cela.

En ce moment c'était Enzo qui consolait Gwen mais pour lui ça aurais du être le contraire, celui qui souffrait le plus était la victime.

Gwen se calma rapidement, se disant que ça ne ferais que d'enfoncer Enzo de pleurer, toujours dans les bras de son frère, le plus vieux prit la parole:

 

- Dit moi Gwen que c'est-il passé pour que tu te mettes dans cet état?

 

- Rien, répondit rapidement le plus jeune la voix tremblante.

 

- Tu sais qu'on se dit tout depuis que l'on est petit, dit moi, je t'écouterais sans rien dire.

 

- Mais c'est rien ne t'inquiète pas s'il te plait.

 

- Dit moi...

 

Devant la moue suppliante et attendrissante de son frère, Gwen se lança dans son récit, gêné mais en même temps tremblant dans ses bras protecteurs.

La réaction ne se fit pas attendre, l'aîné se leva, il faisait les cents pas dans la pièce tellement mal à l'aise vis-à-vis du plus jeune.

Pourquoi l'avoir touché lui, il n'avait rien à voir dans ses affaires et ça ils allaient lui payer cher.

 

- Gwen je suis vraiment désolé, il n'avait pas à te toucher, je suis désolé qu'il t’ai fait du mal pour mes conneries.

 

Gwen partit directement prendre son frère dans ses bras, se disant que maintenant c'était lui qui en avait besoin, plus lui.

Il lui souffla un rapide "Ce n'est pas grave" eu creux de l'oreille avant de poser sa tête sur son épaule.

Qu'il était bien ici...

Ils restèrent ainsi enlacé un long moment avant qu’Enzo ne se détache de cette étreinte, puis reparte dans sa chambre, lançant un dernier regard d'excuse pour le cadet.

Le plus jeune se remit dans son lit, à la place où son frère était précédemment, puis prit son cousin dans ses bras et s'endormit avec l'odeur de l'élus de son cœur, pendant que l'aîné lui se recouchait dans son lit, en colère envers la bande de voyous, mais aussi gêné vis-à-vis de son frère.

Mais aussi il se rendormit en pensant que le plus jeune était très câlin ce soir, ce qui était sûrement dût au choque mais aussi au fait qu'il soit célibataire depuis longtemps...

 

La journée du lendemain se passa très vite entre les cours, les amis, les profs qui veulent vous voir à la fin du cours car on n’était pas assez attentif.

Gwen n'a pas croisé son frère de la journée, même le matin, étonnamment.

Dans la cour pour le peu qu'il y était, il ne l'a pas vu.

Il voulait demander à Anaëlle si elle ne l'avait pas vu, mais il était très gêné de la situation, elle se doutait des sentiments qu'il avait vis-à-vis de son frère.

À elle, elle à qui il disait tout, il ne lui a pas avoué ça!

 

Le soir même il emprunta exactement le chemin de la veille pour rentrer chez lui, une boule de peur au ventre.

Au loin il pouvait apercevoir une personne en train de se faire taper dessus, sûrement encore la bande d'hier.

Il allait faire demi-tour quand il entendit des paroles qui lui glacèrent le sang et le figea sur place:

 

- Alors petit Enzo tu nous as toujours pas donné ta dette. Je te promets que cette fois ci tu vas nous sentir passer en toi, à moins que tu préfères que l'on prenne ton frère il est bandant lui aussi.

 

Se fut suivit de rire sadique par le reste de la bande et le chef, celui qui avait dit ses paroles, plus que répugnante.

Il ne pouvait pas le laisser seul avec ces brutes, qu’allaient ils lui faire.

Après tout on dit que l'on est toujours plus fort à deux, plutôt que seul.

Il posa son sac d'affaires scolaire dans un coin de la ruelle, puis avança la tête haute vers ces voyous, une lueur de haine brillait dans ses yeux.

 

- Tien Enzo regardes ton petit protégé vient te sauver, que c'est beau l'amour, cracha le chef de la bande en direction de Gwen.

 

- Non mais casses toi Gwen, repars je t'en pris, laisses moi, c'est mes affaires, puis il rajouta un "part" inaudible.

 

Gwen continua, quand quelques personnes de la bande se déplacèrent vers lui pour lui mettre son compte, quand le chef intervint:

 

- Laissez le moi, par contre occupez-vous d'Enzo, je vous autorise à faire joue-joue avec lui, prenez le dans le sens où vous voulez.

 

- Ok chef, occupez-vous bien du petit protégé de ce...

 

- Assez je ne veux pas vous entendre, coupa le "chef".

 

Il se rapprocha de Gwen à grand pas, puis le prit directement par le col de son polo, le souleva, le colla contre un mur et plaqua sa bouche sur la sienne.

Gwen trop surpris ne put que se laisser faire par le chef, mais il n'a pas dit son dernier mot.

Le chef caressa les lèvres de Gwen avec sa langue, mais il n'ouvrit pas la bouche, une seule personne pourrait le faire et c'était sur!

Il se débâtit du mieux qu'il le pût, puis dans sa colère, il donna un coup de genoux sur l'entrejambe du chef, qui le lâcha immédiatement.

Il regarda en direction de l'aîné, celui ci était couché par terre, nu, dans une flaque d'eau, en train de recevoir des coups de pieds sur le corps.

Le cadet couru directement en direction de ce supplice, ça lui brisait le cœur de voir l'homme qu'il aime dans cette situation.

Seulement il n'a pas vu que le chef de la bande c'était relevé et le suivait de très près.

Il eu le malheur de ralentir un peu, suite à des problèmes de respiration et c'est là que le chef, qui se nomme Jo, le rattrapa et le jeta par terre.

Il se mit par-dessus lui, à califourchon, lui prit les bras et les plaqua au-dessus de sa tête.

 

- Maintenant tu bouges encore une fois ou tu tentes de partir ça seras beaucoup moins agréable ce que je vais te faire.

 

- Enfoiré, se fut la seule réponse de Gwen qui avait toutes ses pensées pour son frère.

 

Jo se releva de quelques centimètres, puis se mit à bouger du bassin, sur celui du plus jeune.

Celui-ci tourna la tête dans la direction de son amoureux, le voir en train de se faire tabasser était une chose horrible.

Il ne tenait même pas compte de ce que Jo lui faisait, ses larmes coulaient toutes seules, il avait tellement mal pour lui.

Ce petit manège dura un petit moment, jusqu'à ce que la douleur que ressentait Gwen se transforme en haine, une haine ardente contre les personnes qui torturaient son frère.

Il poussa le plus violemment Jo, puis se leva le plus vite possible et fonça la tête la première vers le reste de la bande.

Il en poussa, un, deux, trois, quatre peu être jusqu'à ce qu'il arrive vers les personnes les plus actives de la bande, celles qui avaient fait le plus de mal à son frère.

Il y en avait trois en tout, ces trois personnes allaient prendre pour ce qu'ils lui avaient fait non seulement mais aussi pour ce qu'ils ont fait endurer à Enzo.

Il prit la première personne qui était le plus proche de lui, Gwen avait un voile noir devant les yeux, plus personne ne pourrait l'arrêter, il ne voyait plus ce qu'il faisait, il était devenu incontrôlable.

Il tapait à s'en cassé les poignets jusqu'à ce qu'il ne les sente plus et que le poids de la personne qu'il tapait repose contre lui.

Il le lâcha comme un vulgaire déchet puis partit vers le deuxième, pour lui faire endurer le même sort.

Le deuxième fini sur le premier dans le même état voir pire, bien sûr certains étaient venus pour aider, leurs collègues, mais c'étaient vite découragés en voyant l'état et le regard de Gwen.

Tout le reste de la bande partit, abandonnant les deux personnes à terre, qui ne bougeaient plus.

"Tous des lâches" pensa Gwen avant de partir vers la personne qu'il avait défendue.

Il ressentait une douleur horrible au niveau des poignets, ses bras lui brûlaient, mais il passerait en deuxième.

 

- Mon amour ça va, dis-moi que tu vas bien, supplia Gwen à son frère mais il n'obtient pas de réponse.

 

Il prit très difficilement le corps plus lourd de son frère dans ses bras, puis partit avec son précieux objet dénudé vers l'hôpital le plus proche.

À une dizaines de minutes à pieds Gwen arriva à un hôpital, il entra en hécatombe, puis hurla qu'il avait immédiatement besoin d'un médecin.

La jeune femme de l'accueil l'amena directement dans la pièce la plus proche avec un lit, lui dit de le poser délicatement dedans, puis de lui mettre les couvertures dessus.

Sa peau avait une couleur violette à cause du froid et ça l'inquiétait, puis elle partit en courant chercher un médecin.

Pendant ce temps Gwen avait posé délicatement ses lèvres sur ses jumelles, puis lui avait murmuré ces mots : " Ne meurt pas ma vie et rien sans toi mon cœur, si tu meurs je vais mourir de tristesse, pitié ne m'abandonne pas mon amour...", puis il avait laissé libre court à sa peine.

 

Le médecin arriva dans la chambre quelques secondes, il examina rapidement le corps inerte et froid d'Enzo puis dit à l'infirmière d'aller chercher un anesthésiste et des chirurgiens d'urgence puis un médecin pour Gwen.

Tous se passa dans une rapidité extrême, Gwen n'a même pas eu le temps de dire au revoir à l'aîné.

Quant à lui il se retrouva dans une salle d'examen, il passa une radio pour ses poignets et le médecin lui dit qu'il avait une tendinite* au bras droit.

Il passa d'urgence en salle de radiologie, c'était un homme qui s'en occupait et il lui a dit qu'il pensait qu'il s'était légèrement fêlé un os et l'autre il avait le poignet cassé, mais il n'était pas sur.

Gwen n'écouta que d'une oreille l'homme il pensait à son frère.

Le médecin qui l'a examiné revint vite le voir puis confirma l'hypothèse de l'homme le poignet gauche était cassé et l'autre avait l'os légèrement fêlé.

On lui mit un plâtre au poignet gauche et une bande au droit, puis une attelle pour la tendinite au bras droit.

Il avait prit une chambre pour son frère, puis attendait dans celle-ci des nouvelles d'Enzo, personne ne lui avait dit ce qu'il avait, personne ne lui avait donné de nouvelle.

S'il venait à mourir pendant l'opération, Gwen le suivrait immédiatement, au moins ils seront ensembles...

 

 

 

 

 

 

 

*Tendinite: une inflammation des tendons.

 

 

Par laptitemiss - Publié dans : Amour impossible
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Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 20:22
WARNING:

Bon vu que sa fait un moment que  je l'ai ce chapitre mais que il n'est pas encore corrigé je vous le met mais je vous prévient si vous n'avez pas peur des fautes d'orthographe et de grammaire lisez sinon abstenez vous! ! ! !
Je le remettrez corrigé plus tard , Voilà gros bisoux a tout le monde et encore désolé de ne pas posté plus souvent...
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Une fois de plus, Gwen Guirao se plier aux quatre volontés de son frère, Enzo, pendant que leurs parents étaient absents.

Le plus jeune, Gwen, avait 16 ans, temps dit que le plus grand Enzo venait de faire ses 18 ans.

Ils étaient tout les deux, considérés comme les plus beau frères du lycée et n'avaient donc aucun soucis pour avoir toutes les filles qu'ils voulaient, enfin surtout Enzo.

Gwen était assez petit pour un homme, il avait les cheveux noirs, les yeux bleu/vert, et la peau pâle, par contre son frère était grand, les cheveux bruns avec exactement les mêmes yeux que son frère.

Pour Gwen, on ne lui connaissait plus de petite amie depuis qu'il avait 14 ans, pourtant ce n'était pas les filles qui manquer.

Ils fessaient tout les deux parties de la même bande, la bande la plus populaire qui réunissait les deux frères Guirao, le meilleur ami d'Enzo, Lucas, et la meilleur amie de Gwen, Anaëlle.

Lucas et Anaëlle étaient en couples depuis maintenant un peu plus de 3 ans, ils étaient considérés comme le couple model.

 

Un après-midi, comme beaucoup d'autres, une scène choquante aux regards des autres était en train de se produire entre les deux frères Guirao, mais en toute discrétion...

- Ha ... Gwen continue, c'est trop bon...

Depuis quelques temps, Enzo demander à son petit frère de le masturbé devant des films X divers.

Beaucoup de personnes auraient pu penser qu'Enzo été un homosexuel, mais non, au contraire, c'était un des nombreux homophobes qui peuplés son village, il aimer juste prendre du bon temps, peu importe la personne, mais dans la limite du raisonnable.

Gwen ne refuserais pour rien au monde ce contacte assez intime avec l'homme qui occupé ses pensées jour et nuit.

En effet, depuis maintenant deux ans, Gwen avait découvert qu'il ressentait une attirance importante a l'égard de son frère, au début il pensé que c'était de l'admiration, mais au fil des jours, il se rendait compte qu'il désirer son frère plus que tout.

Gwen eu à peine le temps de se rendre compte que tout les muscles de son frère se raidissait, qu'il reçu le fruit de son plaisir dans sa main.

Enzo se rhabilla après avoir repris son souffle, et parti sans un regard à son frère, se qui lui fendis le cœur une fois de plus.

Gwen

s'essuya la main, éteignit la télé, puis parti dans sa chambre.

Il était habituer à ce que sont frère ne lui adresse aucun regard après se genre de scène, à croire qu'il en avait honte, il ne lui en parler jamais non plus.

Les deux frères ne se parlèrent plus de l'après-midi, Enzo vint seulement dire à sont frère qu'il sortait avec des amis.

Gwen resta seul, il pensait à son frère, que faisait-il à ce moment précis? Personne ne lui faisait de mal? S'amusait-il?

Il fut sortit de ses penser par le vibrement de son téléphone dans la poche arrière de son jean, c’était un message d'Anaëlle qui lui disait qu'elle serait chez lui d'une minute a l'autre.

Dés qu'il eu ouvert la porte, Anaëlle lui sauta dans les bras et lui embrassa les deux joues.

Anaëlle été fille unique et elle considérait Gwen comme sont frère, elle été très affective avec lui.

Gwen la repoussa un peu lui disant d'arrêter, rouge de honte...

Il était une personne assez réservé, il avait beau lui expliquer qu'il n'aimait pas trop ses démonstrations d'amitiés très pousser, elle n'en faisait qu'a sa tête !

Ils étaient maintenant tout les deux assis devant un verre de jus d'orange mélangé à du Malibu, et parlaient depuis un long moment.

 

 

- Dit Gwen...Enzo tu l'aime beaucoup non ?

Gwen s’avait qu’elle se doutait de quelque chose mais avait peur de lui avouer.

Il se contenta de lui répondre assez froidement

 

- Anaëlle bien sur que je l’aime c’est mon frère et puis j’ai déjà répondu à cette question au paravent !

- Oui mais tu l’aime…

- C’est un amour fraternel Anaëlle !

Il avait presque crié sa réponse et la jolie blonde compris qu’il ne fallait pas insister.

La conversation reprit donc sur un autre sujet, mais Gwen était moins attentif il se demander pourquoi il n’arrivait pas a lui avoué, avais-t-il peur de sa réaction ou bien peur qu’elle aille le dire a Enzo ?

Non il ne fallait surtout pas que son frère le sache, sinon Enzo vas le détester comme il déteste tous les homosexuels, et il n’aurait plus droit à sa protection ni a ses moments si particuliers où il devait lui faire plaisir.

L'après-midi passa rapidement, Gwen ne voyait plus le temps passer en compagnie de sa meilleur amie, elle lui apportait beaucoup, puis quand il était avec elle c'était un des rares moments où il ne pensait pas à Enzo.

Anaëlle dut partir au moment où les parents de Gwen rentraient, Enzo rentrait lui aussi peu après.

Le plus jeune parti dans sa chambre, il se mit une chanson qu'il aimait par dessus tout "My heart will go on".

Allongé sur son lit, les yeux fermés, Gwen pensait une fois de plus à son frère.

Seulement, il n'entendit la porte de sa chambre s'ouvrir. Enzo pénétra dans la chambre se pencha au dessus de Gwen qui avait toujours les yeux fermé, et se mit à cirer pour lui faire peur

Le plus jeune instinctivement se redressa, pour voir la personne qui lui a fait peur.

Seulement en se redressant il sentit sa bouche se joindre à une autre, sa jumelle.

En ouvrant les yeux il eu l'agréable surprise de voir son frère, mais cette joie s'envola bien vite en voyant le regard dégouté de son frère.

Enzo se releva bien vite, puis dans un murmure il dit à son frère qu'ils passaient à table.

En entrant dans la salle à manger, il vit ses parents enlacés, et son frère déjà à sa place à coter de lui.

Jesse et Tom c'étaient connus au lycée et sont très vite tombés amoureux.

Quelques années plus tard, il c'étaient mariés puis deux enfants suivirent leurs unions.

Gwen les admiraient, malgré leurs deux travails respectifs qui leurs prenaient beaucoup de temps leur couple était solide comme de la roche.

 

Tout le monde passa à table, dans la bonne humeur comme toutes les familles unies, le repas se passa sans
encombre, enfin jusqu’à ce que Jesse demande

:

 

- Alors les garçons votre après-midi c'est bien passé ? demanda Jesse.

- Oui très bien, Anaëlle est passé à la maison et a passer l'après midi avec moi, répondit rapidement Gwen sans plus de joie.

- Et toi Enzo tu étais avec tes amis?

- Non j'ai passé la journée avec ma petite amie, chez elle.

 

Gwen n'écouter plus son frère qui la décrivait, il venait de recevoir un coup de poignard dans le cœur.

Encore une fille parfaite aux yeux de son frère, une fille qui pourrai l’embrasser, le toucher…

Une de plus qui allai lui volée la personne la plus chère a ses yeux, celle qui occupais ses pensé jour et nuit, s'en était trop pour Gwen.

Plus Jesse posai des question sur cette fille parfaite plus les yeux de Gwen se remplissait de larmes.

Il devait vite trouver une excuse pour sortir de table, Il ne fallait pas qu'il craque devant tout le monde, surtout devant lui...

- J'ai plus faim, maman je sors de table, je vais dans ma chambre.

Il arriva dans sa chambre, à peine la porte franchit que les larmes inondèrent son visage d'ange.

Il se coucha dans son lit, puis enfouit son visage dans son coussin, criant tout son désespoir, sa peine.

Il n'arrivait pas à se calmer, plus il essayer, plus son cœur s’émiettai

.

Tout son corps était secoué de spasme, il n'arrivait plus à se contrôler, c'était au dessus de ses forces.

C'est deux bras protecteurs, deux bras qu'il connaissait par cœur maintenant, qui le firent sortir de la carapace remplit de peine qu’il s’était crée.

Enzo... Cette odeur il l'a connaissait par cœur.

Enzo, qu’il soit en général froid avec lui, l'aimer beaucoup c’été son frère son petit frère.

Il avait été surprit de voir Gwen quitter la table précipitamment et c’été dépêcher de fini son assiette pour le rejoindre.
Quand il été rentré dans sa chambre il avait été encore plus surpris de le trouver en pleure
Sa n’aurait servi a rien de lui demander ce qu’il avait car Gwen été quelqu’un de très réservé et timide et il ne lui aurai pas répondu. La seul chose qu’Enzo trouva à faire c’été de lui montré qu’il été là pour le consoler en le prenant dans ses bras.

Ils ne sauraient dire combien de temps ils restèrent l'un dans les bras de l'autre, Enzo brisa se contacte en donnant une dernière caresse dans les cheveux de son frère suivit d'un léger baiser dans ses cheveux, puis partit pour allez dormir.

Gwen s’était calmer dans le bras de son frère mais dés que celui ci eu refermé la porte il se remit à sangloter

Silencieusement avant de s’ombrer dans un sommeil sans rêves.

Le lendemain, Gwen se réveilla comme tout les jours où il avait cour à 7 heure, il s’habilla descendit dans la cuisine, déjeuna rapidement, puis partit rejoindre son frère qui était déjà parti à l'arrêt de bus. Il n’avait pas prononcé un mot depuis son réveil, il été plongé dans des pensés noir envers cette petite copine qu’il aller rencontrer aujourd’hui au lycée

Après

un cour trajet en bus ou les deux frères n’avaient pas prononcé un mot ils arrivèrent au lycée. A peine descendu Enzo comme à son habitude se dirigea vers Lucas son meilleur ami. Mais aujourd’hui celui-ci étais accompagner d’une petite brune qui dés qu’elle eu aperçu Enzo couru pour l’enlacé et l’embraser. Gwen sentit son cœur se sérer, alors voila a quoi ressemblait cette petite amie qu’avait t-elle de plus que lui ? Elle était assez jolie mais Gwen l’était aussi à en croire toutes les filles qui lui tournaient autour. Les seuls choses qui les différenciés c'étais qu’elle était une fille et qu’elle ne faisait pas partit de la même famille qu’Enzo et ces différences étaient malheureusement ineffaçable.

Gwen fut tiré de ses pensées par Anaëlle qui venait d’arriver et qui lui avait embrassé les deux joues, comme à son habitude.

- Tu viens on va rejoindre Enzo et Lucas !

- Nan… je n’ai pas envie.

- Ben...pourquoi ?

La jeune fille jeta un regard vers les deux garçons, remarqua la brune dans les bras d’Enzo, et comprit l’attitude de Gwen elle eu de la peine pour son ami, il n’y avait plus aucun doute pour elle Gwen aimait son frère.

Elle fit un signe de la main et un sourire à Lucas avant de courir rattraper Gwen qui étais déjà partie en direction du bâtiment : l’amitié passerait avant l’amour aujourd’hui.

Il été 10h05, Gwen assit sur un banc guettait deux silhouettes de l’autre coté de la cour. Anaëlle assise à ses cotés finissait de lui expliqué pourquoi Lucas avait été colée et donc pourquoi il n’était pas présent en récréation.

La jolie blonde voyant que sont était ami trop concentré dans son observation ne l’avait pas écouté sortie d’une traite :

- Elle s’appelle Alexia Escos elle a 17 ans et si tu veux en parler je suis là !

- Hein ? Qui sa ?

- La petite amie d’Enzo…

- Je ne voie absolument pas pourquoi je voudrais en parler ! Répondit froidement Gwen en prenant ses affaires, la sonnerie venait de retentir.

- Gwen… Murmura la jeune fille, avant d’elle aussi récupérer ses affaires et de suivre son ami en cour de français.

La professeur de français n’été pas encore arrivé. Gwen regardait du coin de l’œil Anaëlle assise à ses cotée qui se coloriait les ongles avec un fluo rose bonbon.

La porte de la salle s’ouvrit, Enzo passa la tête dans l’embrasure de la porte et appela son frère. Gwen le rejoignit dans le couloir en refermant la porte derrière lui, le cœur battant a la chamade :

- Oui ?

- Ne m’attend pas pour rentrer ce soir je sors avec Alexia.

Gwen eu un pincement au cœur qu’il chassa très vite se disant que de toute façon il faudrait qu’il prenne l’habitude a ce qu’Enzo passe du temps avec elle.

- Ok…

- Sa ne va pas ?

- Si si tout va bien.

Lui répondit-il avec un sourire triste.

Enzo sortit un billet de sa poche et lui tendis :

- Bon tien, passe t’acheter quelque chose à manger, papa et maman ne rentrent pas ce soir.

- Merci.

Enzo ébouriffa les cheveux de son frère avant de s’éloigner en souriant :

- Bonne journée frérot !

Gwen resta quelques secondes à regarder la douce silhouette de son frère s’éloigner mais il fut tirer de sa contemplation par la voie aigri de sa prof de français qui venait d’arriver :

- Vous comptez suivre le cour du couloir monsieur Guirao ?

Gwen ne répondit rien et suivie son professeur dans la salle avant de regagner sa place.

A peine fut il assit qu’Anaëlle se mit à le questionner :

- Qu'est ce que voulait Enzo ?

- Ho juste me prévenir que je serais seul ce soir.

Anaëlle vit un semblant de peine traverser le regard de son ami, elle comprit donc avec qui Enzo sortait.

- Tu n’a qu'à venir dormir à la maison !

- Non Anaëlle je préférerai être seul si ça ne te dérange pas…

- Gwen j’ai l’impression que tu ne vois pas que je suis là pour toi c’est temps ci, répondit Anaëlle déçu.

- Comment veut tu que je ne te voie pas avec ton fluo rose sur les ongles !

- Ben pourquoi t’aime pas ?

- Nan ce n’est pas que je n’aime pas c’est que c’est heuu’ bizarre !

La jeune fille éclata de rire suivi par son ami quelque instants plus tard.

- Hé vous deux voulez vous arrêter de perturber mon cour ? Cria la prof rouge de colère.

Gwen et Anaëlle tentèrent de se calmer et de se concentrer dans leur travail.

La journée de cour fini, Gwen marchait sur le trottoir en direction d’une petite épicerie, ou lui et son frère avait l’habitude d’aller s’acheter à manger quand leur parents été absent. Un vent froid s’engouffra dans la rue et Gwen remonta sa fermeture éclaire jusqu’à son cou. Quelques minutes plus tard il arriva dans l’épicerie et commença à faire le tour des rayons avec envie… Alors qu’il hésitait entre une pizza quatre fromages et du riz cantonnai il sentit une main lui attraper l’épaule et se retrouva face a Alexia.

- Salut tu es Gwen c’est sa ? Demanda la jeune fille en souriant.

- …Oui.

- Je suis Alexia la nouvelle peti…

- Je sais. Répondit Gwen sur un ton froid.

- Ha… heureuse de faire ta connaissance.

- Où est Enzo ? Demanda Gwen qui lui n'était pas vraiment ravi de la rencontrer

- Ben je ne sais pas il n’est pas avec toi ?

Gwen fut soudain pris de panique ou été Enzo ? Pourquoi lui avait il dit qu’il sera avec Alexia alors que celle-ci n’été pas au courant ?

La petite brune voyant l’air perdu de Gwen repris :

- Il m’avait dit qu’il passait la soirée avec toi car vos parents…

Gwen ne prit pas la peine d’écouter la suite et se mit à courir en direction de la maison laissant derrière lui une Alexia perdue avec une pizza et un sac de riz dans les

bras.

Gwen rentra chez lui en trombe, il chercha son frère partout dans la maison, il était introuvable.

Mais où était-il? Que faisait-il? Pourquoi lui avoir menti?

Rien qu'à cette pensée Gwen eu les larmes aux yeux, son frère ne lui avait jamais mentit, sauf quand il allait vraiment mal.

Il s'en voulait de n'avoir rien vu, décidément il ne mériterait jamais de l'aimer, lui voyait quand il allait mal mais pas lui...

Gwen refit toute la maison en courant, hurlant son prénom...

Il partit finalement dans sa chambre, la tête baisser, regardant ses pieds, en se lançant des injures mentalement.

Il se jeta sur son lit, frappant le plus fort possible de ses poing son matelas.

Il frappait son matelas comme s'il aurait pu se taper s'il en avait pu, il finit pas sombrer dans un sommeil plus ou moins profond épuisé de cette détresse.
Gwen se réveilla le visage encore inondé des récente larmes, il passa sa manche sur ses yeux, puis se leva voir si son frère était là.

Toujours pas, sa chambre était et restait vide, pas de présence humaine, que faisait-il?

Finalement Gwen se coucha sur le lit de son frère, inspirant le plus profondément possible pour inspirer son odeur, puis fini par se rendormir dans le lit de l'homme de ses rêves.

Pendant son sommeil le plus jeune fit un cauchemar:

-Bonjour jeune homme, vos parents sont-ils là?

-Non, vous voulez que je leur laisse un message, répondit poliment Gwen à des policiers.

- Euh... il serait préférable que se soient nous qui leurs disions.

-C'est au sujet de? demanda Gwen pousser par la curiosité.

-Votre frère, répondirent les deux policiers gêné de la situation.

-Que lui est-il arrivé, répondez s'il vous plait.

Son frère... ses mots se répétèrent inlassablement dans sa tête.

Où était-il? Pourquoi des policiers sont-ils la à son sujet?

Il fut sortit de ses pensées par un des policiers qui répondit en regardant ses pieds

-Il est à l'hôpital, il s'est fait renversé par une voiture.

-NONN, Gwen crut que son cœur s'arrêta sur place quand il entendit "frère" "hôpital".

 

Il se réveilla en sursaut, le front pleins de sueur...

Un rêve, ce n'est qu'un rêve, il essayer d'y croire mais non, il n'y arrivait pas.

Enfin jusqu'à se qu'il entendit son frère chanter du salon.

-Mon chauffage, mon meilleur ami, la la la, que je t'aime...

Mais que faisait-il? Gwen se leva avec hâte, puis partit à la rencontre de son frère, couché dans le salon.

 

-Enzo, que fait-tu couché par terre?

-Heuuu...ché pas...dodo.

Gwen s'agenouilla devant son frère pour le relever et le mettre contre son cœur, de façon à le relever.

Enzo le faisait rien pour l'aider, au contraire même.

Il s'accroché a son frère comme un aimant, et le tiré vers lui, Gwen fini par tomber a quatre pates au dessus de son frère.

Son visage était à quelques millimètres de celui de son frère, ils se fixaient.

Gwen vit son frère fermé les yeux, et rapprochaient ses lèvres des siennes.

Le plus jeune se releva aussi vite qu'il le pu, avant de seder, il n'aurait pas pu tenir longtemps.

Il souleva Enzo, le porta jusqu'à sa chambre.

Arrivé à la chambre, il coucha le plus âgé dans son lit, puis entreprit de le changer, ses vêtement pués l'alcool...

Il le déshabilla sans trop de mal, mais arriver au pantalon il hésité, lentement il détacha le bouton, dézippa la braguette, puis fit glisser le pantalon de son frère le long de ses jambes, malheureusement une de ses mains frôla l'intimité de son frère, se qui eu pour effet de le faire reculer et rougir vivement.

Enzo poussa un gémissement de plaisir, attrapa la main plus jeune et le tira vers lui.

Il n'a pas pu résister, se retrouva par dessus son frère, sa bouche sur la sienne.

Gwen senti quelque chose lui caresser les lèvres, puis fini par les ouvrir pour laisser la langue de son frère caresser, dans un ballet plus qu'érotique, la sienne.

Un main vint s'infiltrer dans son jean, lui caressa les fesses, puis pour sa plus grande surprise et aussi son plus grand plaisir il entendit son frère prononcer ses paroles encore contre ses lèvres

-Gwen fait moi l'amour, suivit d'un long gémissement.

 

Par laptitemiss - Publié dans : Amour impossible
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